Voir les contributions

Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.


Sujets - Dunwyd

Pages: [1]
1
Aile publique / Qui cherche un Précieux, trouve un(e) Sou
« le: 20 juin 2017, 19:40:53 »
4ème décade du printemps 1485

Il n'avait pas été simple de trouver un moment pour aller à la chasse aux objets oubliés dans les greniers du palais, entre les activités de Dunwyd (c'est qu'il avait toujours des cours, et voulait éviter de trop en manquer pour essayer de ne pas ralentir son dépassement du stade d'apprenti), celles de Penthésilée (dont il ne savait pas grand chose, mais ce qui semblait certain, c'était qu'elle ne s'ennuyait pas) et les difficultés pour savoir si ce qu'ils projetaient était permis, et à qui il fallait demander… Le jeune homme avait vu bon nombre de personnes dont la principale fonction semblait de le renvoyer vers quelqu'un d'autre pour obtenir une réponse, et comme il était un gentil garçon bien sage, il était passé de l'un à l'autre, patiemment, en supposant qu'il y aurait bien quelqu'un qui saurait le renseigner en bout de chaîne…

Mais peine perdue, et même sa bonne volonté avait fini par arriver à une véritable saturation de ces allées et venues. Il s'était donc décidé, en dernière extrémité, à aller fouiner de lui-même sans attendre qu'on l'y autorise. S'il y avait un problème, sans doute que quelqu'un saurait le trouver pour le lui dire… et puis, il pourrait repérer à l'avance les endroits potentiellement intéressants, ce qui éviterait de perdre trop de temps lorsqu'il y reviendrait avec sa mère. Il avait donc commencé complètement au hasard, montant des escaliers et suivant des couloirs en privilégiant les moins utilisés, jusqu'à se trouver à l'entrée d'une série de pièces poussiéreuses emplies de malles et autres amoncellement d'objets plus ou moins identifiables.

Un sourire aux lèvres, il s'avança vers la lucarne qui, seule, donnait un peu de clarté, et saisit délicatement la première chose qui se trouvait à sa portée : un grand rouleau d'étoffe qui se révéla être une tenture, sans doute une ancienne décoration du Palais. Surpris par la quantité de poussière qui s'en dégageait alors qu'il la dépliait partiellement, Dunwyd fut pris d'une quinte de toux qui l'obligea à lâcher le coin de tissu qu'il tenait et, toujours toussant comme un perdu et clignant des yeux, il s'écarta vivement du nuage irritant. Ses pas hasardeux, à reculons en direction de l'entrée, furent brusquement stoppés quand il percuta un objet non identifié. Sauf qu'il n'y avait rien à cet endroit lorsqu'il était entré. Un objet, vraiment ? Se retournant prudemment pour s'assurer de la nature de l'intrusion, il se trouva face à une fillette aux grands yeux noirs pleins de… de quoi, d'ailleurs ?

2
Campagne / Je m'appelle Dunwyd, j'aime ma maman
« le: 14 janvier 2017, 23:02:55 »
[Hiver, 6ème jour de la 1ère décade, piste de patin à glace de la Foire]

C'était enfin LE jour ! Dunwyd avait été réveillé tôt, évidemment, et avait traîné d'un côté et de l'autre toute la matinée, en attendant que le temps passe. Il était prêt, mais non, il était encore bien trop tôt, il n'allait pas déjà partir… Oh, et puis, finalement, il n'avait rien d'autre à faire, et surtout, il n'était bon à rien : il pouvait bien y aller, non ? Pour éviter de se poser trop de questions, il avait finalement opté pour son uniforme du Collegium, qui était certes particulièrement laid, mais aussi repérable, et lui empêchait de devoir choisir dans quels vêtements il allait se présenter à l'étrangère qui l'avait mis au monde.

Et donc, en fin de matinée, il était déjà sur place. Il avait tourné en rond dans les alentours (au moins, ça changeait de tourner en rond dans sa chambre), avait regardé ceux qui s'entraînaient aux glissades sur la glace de la Terilee, et s'était même aventuré jusqu'à quelques unes des tentes les plus proches, mais son attention restait ailleurs. Et il ne s'était jamais bien éloigné du lieu de rendez-vous. D'ailleurs, à mesure que le milieu de journée approchait, il revenait piétinait de plus en plus auprès de la rivière gelée. Par où allait-elle arriver ? Se reconnaîtraient-ils immédiatement comme le supposait Yvelin ? Il fallait que cette attente cesse, oui, bientôt, il serait fixé, sûrement…

3
Haven / S'humidifier le gosier aux Piliers
« le: 06 janvier 2017, 20:59:50 »
[3eme jour de la 6eme décade d'automne 1484]
(suite de Sécher au soleil)


Dunwyd sourit devant l'enthousiasme du Bleu pour une taverne au nom plus conforme à son domaine de prédilection, et accepta d'un signe d'ouvrir la marche dans la bonne direction.
« Va pour les trois piliers, alors ! Mais je te préviens, ils ont pas franchement l'air si extraordinaires que ça… enfin, peut-être que pour un futur architecte, si, après tout, mais j'en sais rien. Disons que si tu trouves ça nul, je te promets pas que j'aurai mieux à te proposer. Enfin, je te payerai peut-être une chopine quand même ! Et ce sera pour ta pomme si ça te plaît, d'accord ? »
Tout naturellement, il tendit la main pour que l'autre tope dedans, sans penser que les enfants de la noblesse n'avaient pas forcément ces usages-là. Déjà, il n'était pas de ceux pour qui il fallait forcément cracher au préalable, ce n'était pas si mal.

La question que posa Dreyan lui avait été soumise plus d'une fois déjà, mais ça ne le dérangeait pas de se répéter. Surtout que l'histoire valait le détour, de son avis. Quand il y pensait, il se disait toujours un peu que c'était difficile à croire, malgré les presque trois années passées au Collegium.
« Ah… »
commença-t-il avec un sourire amusé,
« c'est vrai que ça a été un peu bizarre… un barde te raconterait ça bien mieux, mais bon, je vais essayer de le faire sans trop casser tout l'intérêt. Donc c'était il y a trois ans, à peu près. A l'époque, j'étais apprenti chez un maître bourrelier. Papa avait essayé de m'apprendre son métier, mais tout ce qui était comptes, et chiffres, et registres… »

Il fit une grimace éloquente, indiquant à quel point il avait « apprécié » ces tâches, avant de reprendre :
« Donc, pas moyen, j'arrivais pas, et j'avais réussi à le convaincre qu'il valait mieux que j'apprenne autre chose. T'imagines, il était pas ravi, il aurait vraiment aimé que je reprenne l'affaire après lui. J'ai pas de frères ou de sœurs, donc ça voulait dire que le boulot qu'il faisait lui, ça profiterait pas à la famille ensuite…. Enfin bon, donc c'était un soir, et je rentrais justement de l'atelier de maître Lerek, le bourrelier. Il y avait des gens de la garde devant l'auberge, et il y avait l'air d'y avoir du remue-ménage… »
Le regard dans le vague, comme s'il se remémorait la scène, il s'interrompit en s'arrêtant aussi de marcher, puis indiqua une rue à droite : s'il pensait trop à ce qui était le grand bouleversement numéro un de sa vie, il allait leur faire faire des détours pour aller aux Trois Piliers !

4
Haven / T'as de beaux yeux, le monstre
« le: 09 novembre 2016, 21:24:03 »
6ème décade d'automne 1484, 7ème jour - enquête "des yeux dans les ténèbres"

Les yeux qui brillaient dans la nuit de Haeven étaient sur toutes les lèvres, de toutes les conversations au Collegium. Et même aux Collegia. Au début, Dunwyd n'avait pas prêté grand crédit à cette rumeur : la possibilité qu'une créature malveillante se tapisse dans l'obscurité de son quartier résistait trop mal à son caractère pragmatique. Sans doute s'agissait-il d'une histoire d'ivrogne, qui avait pris pour autre chose une lanterne éloignée, ou n'importe quoi d'aussi normal. Un peu de brouillard, et le tour était joué. Et puis, il savait bien que certains bardes cherchaient tellement un sujet attirant pour leurs histoires, qu'ils pouvaient fort bien avoir exagéré un incident qui n'avait rien de très extraordinaire.

Cependant, au lieu de se taire, la rumeur n'avait fait qu'enfler, devenir de plus en plus inquiétante, jusqu'à ce que son père lui-même lui recommande la prudence lorsqu'il retournait à ses pénates après ses régulières visites au Griffon, alors que la nuit était déjà tombée. Dernièrement, Gwyon avait tenté de le persuader de rentrer plus tôt, ou de venir moins souvent, pour ne pas risquer de rencontrer « les yeux »… Dunwyd n'y croyait toujours pas trop, mais admettait qu'il devait y avoir quelque chose. Pas de fumée sans feu… et il devenait urgent d'étouffer les flammes avant que les habitants de Haeven ne suffoquent d'une terreur dont la cause restait invisible.

Aussi, quand il avait été question dans les Collegia de lancer une expédition pour tirer les choses au clair (ou à la bestiole, si elle en avait), l'apprenti mage s'était immédiatement porté volontaire. Ce soir, il se trouvait donc sur la placette désignée pour se retrouver, non loin de l'entrée de leurs lieux de savoir. Il n'y avait personne, et il se demandait s'il ne s'était pas trompé de jour… peut-être était-il un peu en avance, le crépuscule assombrissait à peine les toits. A moins qu'on n'ait voulu lui jouer une mauvaise blague en le tenant éveillé plus que de raison ? Il avait pourtant passé l'époque des bizutages, et depuis longtemps. Finalement, une petite silhouette apparut, et sembla se dirigea vers le lieu de rendez-vous déserté. Un autre courageux chasseur de monstre ?

5
Espace d'études / Quand est-ce qu'on invente les effaceurs ?
« le: 25 octobre 2016, 17:54:16 »
[2ème décade d'automne 1484]

Le quotidien au Collegium n'avait pas grande originalité. On allait en cours, on mangeait, on effectuait telle ou telle corvée, on étudiait, on dormait. Cela ne dérangeait pas Dunwyd outre mesure, s'instruire sur la magie était déjà quelque chose de bien plus intéressant que la plupart des autres matières possibles, et puis, les moments de pratique, où on pouvait faire des choses vraiment incroyables rien qu'en se concentrant, compensaient totalement les périodes plus ennuyeuses qui ne manquaient pas de les précéder ou suivre.

L'apprenti en jaune était donc content de son sort, et déambulait sans autre souci que les tâches à accomplir pour la prochaine corvée de cuisine, ou l'interrogation de maître l'hibou, ainsi surnommé par ses ouailles pour ses grands yeux et son air ahuri, qui le faisaient ressembler à l'oiseau de nuit. Pour le moment, il lui fallait réviser le dernier cours de potions du dit maître, qu'il avait raté la faute à un mauvais coup de froid. Rien de bien méchant, mais maintenant, il avait un peu de retard, et étudier les notes prêtées par l'un de ses camarades lui semblait encore plus abstrait que d'habitude.

Il luttait donc contre une envie insidieuse de somnoler en s'efforçant de recopier le cours manqué, et il en avait accompli une bonne partie, mais la soirée s'étirait à mesure qu'il approchait de la fin, et le porte-plume lui glissait des doigts. Jusqu'à ce qu'il finisse, dans un mouvement maladroit, par faire chuter l'encrier au sol devant lui. Il lui sembla que tous les regards se tournaient vers sa petite personne, alors qu'il restait à regarder la tache noire au sol, saupoudrée de bris de verre. Le bas de son uniforme jaune avait lui aussi eu droit à quelques traînées sombres. C'était déjà un coup de bol que les feuillets prêtés par son collègue en soient exempts. Il se leva pour aller chercher de quoi nettoyer.

6
Haven / Entre griffon et kyree [LIBRE]
« le: 20 octobre 2016, 19:58:02 »
automne 1484, 3ème décade

Il avait laissé au Collegium ses habits d'apprenti mage pour la visite familiale en ville, et revenait maintenant de l'auberge de son père, "sous l'aile du griffon". C'était le crépuscule, l'heure où l'on ne distingue plus très bien la nature des félins, à moins que ça n'ait été des canidés. Ni leur couleur, d'ailleurs. Par contre, l'odeur qui s'échappait du panier du jeune homme était parfaitement reconnaissable. Il s'en allait rarement sans que grand-mère Kerydwen ne lui glisse quelque chose à ramener, et évidemment, il ne disait pas non.
Dans la rue qu'il empruntait habituellement, une charrette était immobilisée au beau milieu de la voie, et une nuée d'hommes s'activaient tout autour. Apparemment, une roue avait cassé, ou quelque chose de ce genre qui immobilisait le chargement, et bloquait presque complètement le passage. Dunwyd préféra opter pour un chemin de traverse. Il s'engagea dans une ruelle plus étroite, certain que sa connaissance de la ville l'empêcherait de s'y perdre. Il oubliait qu'il avait passé les trois dernières années au Collegium, sans plus parcourir les rues de Haeven qu'occasionnellement, et que la nuit qui s'étendait peu à peu rendait étrangers des lieux qui, de jour, lui auraient été parfaitement familiers.

HJ : Comme indiqué dans le titre (en majuscules pour que ça se voie bien) c'est entièrement libre. Et il est évidemment possible de préciser la date, de la modifier, ou toute autre opération visant à s'adapter à la personne qui voudrait bien se joindre à moi.

7
Champs des Compagnons / A l'aventure, Compagnons
« le: 10 décembre 2014, 21:08:46 »
5ème décade d'automne 1481

Dunwyd ne s’était jusque-là pas permis d'approcher les fameux Compagnons de très près. Au début, il se demandait si c’était bien autorisé, ou recommandé, et ensuite, il n'avait pas trop eu de temps. Pourtant, en cette fin d’après-midi, il se trouvait que son emploi du temps lui laissait un long moment de liberté. Sa curiosité le conduisit donc au champ qui hébergeait les quadrupèdes indispensables aux Hérauts, et raisons d’être d'origine du Collegium. Il n’était pas un grand expert en chevaux, mais pour en avoir approché quelques-uns en compagnie de son maître bourrelier, puisque plus d'un objet qu'ils confectionnaient servait à harnacher les ongulés, il était net que les Compagnons appartenaient à une catégorie supérieure

Comme ni sa présence, ni son intérêt envers eux ne semblaient les déranger, et qu'aucun Gris ou Blanc humain ne se trouvait dans les environs, l'apprenti mage s'accouda plus confortablement à la barrière pour continuer de regarder leurs allées et venues, pour peut-être mieux comprendre ce qu'ils étaient réellement. Apprendre via l'observation lui était en effet bien plus naturel, et bien plus aisé qu'aucun autre mode, sans compter qu'il préférait constater de ses propres yeux, plutôt qu’écouter les discours de qui que ce soit. Un petit vent venait rafraîchir l’atmosphère, mais Dunwyd était suffisamment couvert pour rester à peu près à l'aise sans abandonner son immobilité.

[HJ : j'attends Enora]

8
Cuisines et réfectoire / [Salle à manger] Qui c'est qu'est là ?
« le: 02 décembre 2014, 19:48:18 »
2ème décade d'automne 1481

Les premiers jours au Collegium avaient été intenses, et Dunwyd n'avait pas réussi à croiser son ami d'enfance qui, pourtant, devait se trouver quelque part entre ses murs. Ou plutôt, le connaissant, dans un coin, le visage caché derrière un bouquin. Au vu de ce qu'il avait appris auprès de son père et sa grand-mère, l'ex-apprenti bourrelier avait en outre été affecté plusieurs fois à l'aide en cuisine, ce qui ne lui déplaisait pas de base, mais l’empêchait de voir qui se pressait dans la salle commune.
Ce midi-là, pourtant, il allait manger au même endroit que le gros du troupeau d'apprentis, et un sourire se dessina lorsqu'il repéra le binoclard déjà assis devant une assiette. Comble de miracle, il y avait de la place dans l'entourage immédiat... L'air de rien, il s'approcha, et vint s'asseoir non loin de l'autre garçon de Haven.
" Salut, Yvelin ! Ça faisait un moment qu'on s’était pas vus. Comment ça va ? "
entama-t-il, comme si tout était normal et qu'ils se croisaient juste dans une rue de leur quartier d'origine.

9
Fiches des personnages disparus / Dunwyd
« le: 26 septembre 2014, 20:10:29 »
RECENSEMENT DU ROYAUME
    Valdemar

Prénom : Dunwyd
Age : 17 ans en 1484

Région d’origine : Haven, Valdemar
Métier/Vocation : après avoir tenté de suivre la voie paternelle (tavernier), puis un apprentissage de bourrelier interrompu lors de la découverte de ses dons, il étudie aujourd'hui au Collegium des Mages

Description physique :

Cheveux : blonds, dorés même, comme des céréales bien mûres, mais ses épis raides et courts restent faciles à discipliner, et sont le plus souvent attachés par un lien de cuir, pour lui éviter une gêne dans ses activités
Yeux : gris clairs, comme délavés, lui donnant un air rêveur, ou naïf, ce qui correspond rarement à la réalité ; son regard peut s’éclairer de malice, ou de curiosité, et prendre alors un peu plus de consistance
Teint : ni la blancheur d'un érudit, ni le hâle d'un travailleur de l’extérieur, juste un garçon parfaitement ordinaire, qui a passé du temps à l’intérieur, sans pour autant dédaigner les jeux en plein air
Taille : petit pour son âge, il semblerait que sa croissance refuse d'en passer par la poussée de l'adolescence, renforçant encore cette impression qu'il n'a pas vraiment quitté l'enfance
Corpulence : plutôt potelé, il garde un visage assez poupin, et même si son apprentissage fait désormais travailler ses muscles, la cuisine familiale a ancré chez lui un goût pour les plaisirs de la table
Attitude : lorsqu'il n'adopte pas celle du modeste adolescent présent pour le service de ses supérieurs, Dunwyd peut aussi bien jouer le gentil jeune garçon (pour amadouer un marchand de sucreries), que faire le gamin malicieux, ou l'apprenti zélé ; mais parmi tous ces costumes, en est-il un qui corresponde vraiment à sa personnalité propre ? ou est-ce justement parce qu'il la cherche ?

Description comportementale :

Malgré son allure très jeune, ses gestes ne sont pas hésitants, et il adopte avec aisance le comportement qui lui semble le mieux correspondre à chaque situation : dans une auberge, on reçoit toutes sortes de gens, et copier son père lui a donné une notion presque intuitive des attitudes appropriées à chaque type de personne ; il est notamment assez adroit dans l'art de passer inaperçu face à plus noble ou plus fortuné, ce qui ne l’empêche pas de tenir une conversation, voire plaisanter, si son interlocuteur y semble ouvert.

Qualité principale : l’adaptabilité en douceur, car il peut se couler sans heurts dans des situations particulièrement variées
Défaut principal : l'envie de changement, en effet, le morne quotidien l'ennuie rapidement, et il espère autre chose, sans vraiment savoir quoi

Don ordinaire : un talent né de l'observation et l'imitation de tous ceux qui peuvent l'entourer, presque un don d'acteur

Don spécifique : Don de la Magie

Langues parlées :
  • Valdemaran (maternelle)
  • quelques mots des langues de pays frontaliers (grâce aux étrangers en visite à l'auberge), principalement des salutations et formules de politesse

Description historique :
Dunwyd a passé toute son enfance à Haven, autour de l'auberge familiale, « Sous l'aile du griffon ». Sa grand-mère, Keridwen, a fait des fourneaux et autres marmites fumantes son domaine réservé, alors que Gwyon, son père, s'occupe de tout le reste.
De sa mère, qu'il n'a pas connue, il ne sait que très peu, Gwyon se montrant particulièrement réservé à ce sujet : il semblerait même qu'il ait peur de trop en apprendre à son fils. Ce dernier a pourtant réussi à lui tirer quelques informations : qu'elle était une étrangère venant de loin à l'est, de passage à la capitale valdemarienne, ainsi qu'à l'auberge, durant quelque temps. Qu'il tient d'elle la teinte de ses cheveux. Et que, une année environ après son départ, lui, Dunwyd, bébé de quelques mois, a été déposé un matin sur le seuil de l'auberge. Il semblerait qu'elle ait pu être une femme d'importance, mais qu'il soit plus sage de ne pas en faire état, ni de chercher dans cette direction. L'adolescent se retrouve donc là avec un mystère, mais aucun indice et encore moins d'encouragements pour l’éclaircir. Il ne connaît pas même son prénom.
En dehors de cela, il a eu l'enfance simple d'un fils d'aubergiste, tantôt participant en apportant une aide à la mesure de son âge, tantôt courant jouer dans les rues avec ses jeunes voisins. Au grand dam de son père, il s'est cependant montré totalement incapable en gestion, et ne pourra donc pas reprendre « Sous l'aile du griffon ». Dunwyd apprend en effet très bien toutes sortes de gestes et attitudes qu'on peut lui montrer en exemple, mais s’avère absolument inapte à toute activité impliquant l’écrit. Par conséquent, il a été envoyé en apprentissage chez un bourrelier, où il semble plus à son aise.

10
Présentation des joueurs / Dunwyd
« le: 25 septembre 2014, 14:22:41 »
MON PROFIL DE GEEK

    Prénom ou pseudo : Le pseudo que j'ai le plus conservé est celui d'Idriel (ma toute 1ère expérience RP). Sinon, je change généralement mes noms de persos d'un endroit à l'autre, quoique depuis quelque temps, je m'inspire d'une de mes légendes favorites, celle de Tristan et Iseult <3
    Age : ça commence par un 3 (comme ça, ça me tiendra quelques années sans avoir à changer XD)
    Ville/Pays : le plus beau pays au monde (soyons modeste), la Bretagne ! (près de Vannes précisément, et oui, le golfe du Morbihan, c'est magnifique, je ne m'en remets pas)
    Boulot/Études : maraîchère bio (pas encore réellement installée, mais peut-être d'ici un an, si l'endroit où je travaille actuellement s'avère être le bon)

    Si j'étais...

    une fleur je serais : une fleur d'ajonc (avec quelques épines qui vont avec)
    un animal je serais : un chat (griffes comprises également)
    une couleur je serais : turquoise
    une pierre précieuse je serais : une émeraude
    une race du seigneur des anneaux je serais : une hobbit
    un objet je serais : une harpe (irlandaise évidemment)
    un livre je serais : Trois sœurcières, de Terry Pratchett
    un plat je serais : du crumble de rhubarbe

    Fromage ou dessert ? fromage ET dessert, bien sûr
    Votre blague préférée : (préférée je sais pas, mais c'est une de mes trouvailles personnelles récentes, inspirée par de looongues récoltes...) Vous connaissez le vrai nom de Mr Bean ? Eh bien c'est Harry Cow ! (c'est vache...)

    Quel mot trouvez vous absolument irrésistible ? dubitatif (la faute à Pierre Desproges)

    Définissez vous en 3 mots : terre rêver couleur

    Comment avez vous connu le forum ? ça faisait un sacré bout de temps que mes fréquentations de forums me faisaient tourner autour, par un côté ou l'autre, mais la première fois, j'en ai entendu parler par ses créatrices
    Quels livres de Mercedes Lackey avez-vous lu ? la trilogie des flèches, uniquement. Peut-être pas le meilleur choix pour me donner envie d'en lire d'autres :/

Pages: [1]