Auteur Sujet: Églantine  (Lu 2453 fois)

Églantine

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Églantine
« le: 09 septembre 2012, 18:12:13 »
[center:9ums292z]RECENSEMENT DU ROYAUME
 Valdemar[/center:9ums292z]

[justify:9ums292z]Visage : Cécile Corbel

    Nom : /
    Prénom : Églantine
    Age : 33 ans

    Région d’origine : Haven
    Clan : /
    Métier/Vocation: Barde

    Description physique :

    Cheveux : roux
    Yeux : bleus
    Teint : plutôt pâle
    Taille : 1m70
    Corpulence : moyenne
    Attitude : accueillante et généralement souriante

Plutôt grande, Églantine n’est pourtant pas imposante, ce qui ne fait pas non plus d’elle une femme frêle. Comme tous les Bardes elle a reçu une certaine instruction par les armes et même si elle n’a pas été très studieuse dans ce domaine elle conserve une fine mais robuste musculature (qu’elle s’est employée à entretenir depuis quelques années). Sans être une beauté fatale, Églantine est plutôt jolie, d’autant qu’elle aime prendre soin de son apparence (quand elle le peut et en a le temps).

    Description comportementale :

    Qualité principale : joviale
    Défaut principal : rancunière

D’un premier abord souriant et accueillant, la Barde peut très vite s’avérer sans pitié. Elle n’oublie pas lorsqu’on lui a fait du mal et chez elle l’expression “la vengeance est un plat qui se mange froid” prend tout son sens, elle peut patienter des mois avant de prendre sa revanche. Mais quand on ne lui cherche pas d’ennui, elle est une amie fidèle et généreuse, de même qu’avec son public. Quel que soit le domaine, elle donne toujours tout ce qu’elle a.


    Don ordinaire : habile de ses doigts, elle sait très bien coudre et broder même si elle n’aime pas trop ces tâches.
    Don Héraldique : /
    Don spécifique : Don des Bardes et Talent

    Compagnon : /
    Oiseau lige : /
    Familier : /
    Animal de compagnie : /

    Description Historique :

Églantine est la fille d'un Héraut et d'une Guérisseuse. En tant que telle, elle est née et a vécu dans l'enceinte du Palais et des Collegia, entourée d’une bulle d’amour et de romantisme émanant de ses parents. Son père était un joueur occasionnel de luth, mais il ne jouait que pour l'unique profit de sa famille et de ses amis, il avait appris à en jouer pendant sa mission de probation, grâce à quelques leçons du Héraut qui le supervisait alors. Sa mère ajoutait parfois sa voix à celle de son père, lorsqu'elle pensait que personne d'autre que lui et sa fille ne pouvait l'entendre, trop timide pour la faire partager à un autre public.
Dans ce contexte, Églantine grandit avec une vision romantique du monde, les missions de son père n’étaient rien que des aventures prenant des allures de rêve à ses yeux, renforcées par les ballades qu’elle entendait depuis toujours.

Les conditions de sa naissance auraient pu logiquement diriger Églantine vers l'une ou l'autre des voies ouvertes par ses parents, ce ne fut d'ailleurs pas faute d'essayer, mais si la jeune fille montra un intérêt poli et un grand respect pour les professions de ses parents, elle ne ressentait pas l'envie de prendre leur suite. Dès le plus jeune âge elle se montra très attirée par la musique, initiée par son père, elle apprit à jouer du luth mais lorsqu'elle découvrit la harpe elle sut qu'elle avait trouvé sa passion. Déjà à treize ans elle se montrait habile de ses doigts et possédait une voix claire qui ravissait et captivait son auditoire. Alors, bien sûr, ses parents la présentèrent au Collegium où on confirma qu’elle possédait le Don des Bardes ainsi que le Talent, elle fut donc acceptée et suivit les longues années d’apprentissage avec joie et passion, comme il se devait. Sauf en ce qui concernait les cours de défense. Dès qu’il s’agissait de manier une arme, Églantine ne prêtait plus qu’une attention réduite et le maître d’arme eut bien du mal à faire entrer quelque chose dans la tête obtuse, y intégrant seulement des notions basiques à peine utiles. En effet, l’apprentie Barde avait une vision faussée de la réalité, bien à l’abri dans l’enceinte des Collegia elle s’était forgé une image romantique de la vie à travers les chants et les ballades. Elle était incapable de voir le mal chez autrui.

Malgré cela, Églantine obtint son habit rouge et s’en montra digne. Mais environ un an plus tard, le Cercle l’envoya dans l’Est pour y apporter les dernières ballades. Une mission somme toute banale mais qui s’avéra formatrice pour Églantine. Alors qu’elle cheminait sur la route entre deux bourgs, une bande de brigands s’en prit à elle. La Barde tenta de se défendre mais ne réussit qu'à recevoir des coups sans même parvenir à les toucher, et alors qu'elle mordait douloureusement la poussière, ils lui volèrent son cheval et sa bourse. De cette expérience traumatisante ressortirent plusieurs conséquences. Un châtiment exemplaire fut infligé aux bandits qui furent retrouvés quelques temps plus tard, bien que la Barde ne revît jamais son cheval déjà vendu. Églantine reprit des leçons de défense qu’elle suivit cette fois assidument et sa confiance aveugle en la bonté humaine disparut, remplacée par une méfiance instinctive envers certaines catégories de personnes. Sa relation avec les hommes changea également, sans les repousser totalement, elle accorda plus d’attention aux femmes. Pour finir, elle demanda à demeurer au Collegium pour exercer dans l'enceinte de la ville, ainsi elle serait à l’abri et non loin de sa famille. Elle sait maintenant que les humains sont capables des pires bassesses qui soient, autant qu’ils sont capables du meilleur.


    Hors-jeu :

    Que désirez vous faire de votre personnage ? Je n'en sais trop rien encore, elle représente un défi pour moi que je souhaite déjà relever puis voir ce que cela donne, ensuite peut-être aurais-je des envies à son sujet.[/justify:9ums292z]
« Modifié: 10 septembre 2012, 20:00:09 par Églantine »