Auteur Sujet: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas  (Lu 3609 fois)

Héraut Arthon

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[ Soyara est appelée à l'accueil ]

La nuit tombait, promenant des ombres inquiétantes sur les murs d'un quartier bien mal fâmé. Les maisons se voulaient plutôt récentes, mais mal entretenu, le crêpi, la peinture, et même parfois les murs eux-mêmes se fissuraient déjà sous la saleté ambiante.
Une jeune femme marchait là. Elle était arrivée à Haven dans la journée, et après avoir erré un moment en ville, ne trouvant que des logements trop chers pour elle et son enfant, elle avait fini par atterrir dans cet endroit. Finalement cela ressemblait à là d'où elle venait...

A peine le soleil disparut derrière les remparts, et voilà que d'autres femmes sortaient, fardées à outrance, bien peu vêtues dans le froid qui commençait à être mordant. Chacune d'elle avait son poste et s'y rendit rapidement, jetant quelques coup d'oeil méfiants à l'étrangère. La présence de l'enfant semblait bizarrement les rassurer et personne ne les arrêta.
Bientôt une pancarte rouge indiqua une auberge. Soyara et son enfant pouvaient y tenter leur chance...
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Soyara

Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #1 le: 18 octobre 2010, 20:46:12 »
Soyara était épuisé, son fils n'était pas si lourd, et néanmoins, pour la jeune mère le porter devenait difficile.  Elle l'avait allaiter aussi longtemps qu'elle l'avait pu dans ses errances, mais la malnutrition l'avait gagné et avait tari son lait.  Elle savait cependant quoi faire en ce cas là, elle en avait entendu parler.  Les bébé pouvait manger tous ce que mangeait les adultes pour peu que cela soit réduit en puré et son fils avait donc commencer très jeune à manger de la bouillis de légume, de noix et parfois de viande quand Soyara était chanceuse avec sa fronde improviser ou ses pièges de fortune.

La vie n'avait pas été tendre avec la mère et le fils.  Soyara mangeait rarement à sa faim, mais elle veillait toujours à ce que son fils put manger assez pour bien grandir.  Il était son trésor, sa raison de vivre, son petit soleil.  Il était magnifique, elle en était consciente et cela mettait du baume sur les misère de sa vie.

Elle avait marché pendant un temps qu'elle ne saurait calculer.  Elle n'avait jamais vraiment apprise à compter.  Personne ne s'était soucié de son éducation de toute façon.  Au fut et à mesure de ses pérégrinations cependant, elle avait entendu parler de la capital et finalement avait décider de s'y rendre.  Si elle voulait avoir une chance de trouver de l'argent pour nourrir son fils et elle-même, pour lui offrir une vie un peu meilleur que ce qu'elle avait eu, c'était là qu'il lui fallait chercher.

Elle venait d'arrivé enfin.  Son fils accrocher dans son dos par un sac de tissus qu'elle avait fabriquer grossièrement.  Couverte de poussière, elle était consciente de ne pas être très présentable.  Tous les logement qu'elle avait apperçu jusqu'à présent était beaucoup trop cher pour elle.  Elle n'avait pas un sou en poche et mendier n'était pas très rentable.  Il lui fallait cependant trouver un endroit où dormir.  Elle était très lasse de marcher et de voyager.

Le soir tombait, et elle arrivait dans un quartier presque familier.  Les maisons, l'atmosphère, tout était semblable au quartier de son enfance.  Elle se sentait presque chez elle, si ce n'était le regard farouche et hostile des prostituée qui commençait à envahir les rues.  La jeune femme se permit cependant un sourire lasse et soumis ,baissant humblement les yeux.  Elle n'était pas chez elle et ne voulait pas se faire d'ennemie dès son arrivée.

Elle remarqua finalement une auberge.  Elle ne savait trop quel force supérieur prier.  Qui s'intéressait au gens comme elle de toute façon.  Elle haussa finalement les épaules, et ce mouvement lui fut douloureux tellement elle était épuisé et que les corde du sac de son fils lui blessait les épaules.  Elle soupira et pris son courage.  Elle pénétra alors dans l'auberge.  Peut-être pourrait-elle réussir à échanger une petite place dans la salle commune contre quelque chanson.  Il ne lui restait que cela à offrir.
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Héraut Arthon

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Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #2 le: 21 octobre 2010, 22:39:41 »
L'endroit n'était vraiment pas riche: les tables semblaient vieilles et usées, les bancs n'étaient pas très stables et d'une couleur passée, polie, ... Mais il y avait peu de poussières, et tout semblait plutôt propre. Le feu qui ronflait dans la cheminée, et le brouhaha diffus mais calme que faisaient des hommes assis donnait une atmosphère plutôt chaleureusement à l'endroit, finalement. Au comptoir, une grosse femme un peu trop maquillée mais l'air avenant essuyait des chopes en bois mouillées.

Quand Soyara entra dans l'auberge, tous les regards se fixèrent quelques secondes sur elle et son enfant avant que chacun ne reparte dans sa conversation. La femme cependant continua à regarder Soyara et lui sourit amicalement avant de lui faire signe d'approcher.

"Alors mignone, je peux faire quelque chose pour t'aider, toi et ton bout'chou?"
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Soyara

Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #3 le: 22 octobre 2010, 02:43:01 »
Soyara soutint, charmeuse, les regards qui coulèrent sur elle.  La séduction était devenu une seconde nature pour elle.  Elle remarqua alors le regard amical de la tavernière et elle sentit une bouffé de reconnaissance au creux de son ventre.  Allait-elle trouver un oasis ici ? Un endroit pour se reposer et prendre soin de son fils ?  Elle l'espérait de tous son cœur.  Elle était lasse de voyager et elle avait envie d'élever son fils dans la meilleur vie possible qu'elle pourrait lui offrir.

Prenant son courage, un sourire charmeur toujours entretenue sur son visage, elle s'avança vers la dame.  Son fils gigotait dans son dos, semblant vouloir marcher, mais Soyara n'était pas prête à le laisser explorer pour le moment.  Ils étaient dans un lieu étranger, d'une ville et d'un pays étranger.  Il y avait encore trop de danger et pas assez de sécurité en cette endroit pour qu'elle se permit de laisser son fils hors de sa vue ou de sa protection.

"Chut, là là mon tout petit, tu pourra bientôt te dégourdir."

Eamonn conserva le silence, un peu intimidé néanmoins pas tous les étranger.  Il savait parler depuis un bon moment déjà, mais le faisait rarement.  Soyara s'efforçait de le stimuler et de s'occuper de lui le plus qu'elle pouvait, mais le soir, elle s'endormait souvent d'épuisement et malgré tout ses efforts, la route la rendait lasse et inquiète.  Elle avait si peu de temps à consacré à son trésor.  Elle espérait sincèrement qu'ici elle trouverait une seconde chance dans la vie, et surtout un moyen d'offrir une belle vie à son enfant.  C'était son seul véritable désir.

Rendu au comptoir, elle rendit son sourire et son regard amical à la dame.  Elle espérait ne pas avoir l'air trop lasse et trop misérable.  C'était parfois utile, mais en ce moment, elle ne le croyait pas, et elle avait envie, aussi, de faire bonne impression sur cette femme qui lui semblait amicale, et surtout qui ne semblait avoir aucune pitié dans le regard.  Soyara souhaitait qu'il restait dans son apparence au moins un peu de dignité.

"Bonjour brave dame"

Elle la regarda timidement dans les yeux, ne voulant pas avoir l'air de la dévisager, ou de fuir le regard.

"Je n'ai pas grand chose à vous offrir en espèce sonnante pour une chambre, mais je me demandais s'il serait possible de marchander quelque service en échange d'un tout petit coin ou dormir dans votre salle commune se soir.  Je peut faire des tâches, servir au tâble, vendre mes charmes, ou chanter.  Je ne suis pas très demandante, tout ce que je veux c'est un endroit où mon fils pourrait dormir qui est un toit et un tout petit peu de chaleur."

Elle s'était efforcer de parler avec le moins de patois possible, soignant son langage de son mieux pour faire sa demande.  Elle avait une voix clair et belle à écouter, même lorsqu'elle parlait, pour peu qu'elle s'y efforçait, ce qu'elle avait fait en cet instant.  Encore une fois, elle se senti un peu fâcher de demander ainsi la charité, mais pour son fils elle était prête à bien des choses.
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Héraut Arthon

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Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #4 le: 07 novembre 2010, 20:44:59 »
La dame continua à regarder Soyara et son enfant, ainsi que les hommes derrière eux. La politesse hautaine de Soyara lui fit froncer les sourcils une seconde. « Brave dame ». Mais pour qui se prenait-elle pour la prendre ainsi de haut? Cependant le visage de l'étrangère n'était pas hautain, ni frondeur bien qu'elle la regarde dans les yeux. Ses paroles étaient presque humbles.

La tenancière fronça les sourcils de nouveau:

« J'ai assez de filles ce soir. Tu sais réellement chanter? Quel genre de chansons? »

Se radoucissant elle regarda le gamin et fit signe à la jeune femme:

« Viens en cuisine, je peux quand même vous donner à manger. Allez, grouille-toi. »

Elle passa devant le bar et entraîna la mère et l'enfant dans l'arrière salle, les soustrayant aux regards.

« T'es une jolie femme, et si tu sais chanter tu peux te faire de l'argent. Si tu reste je te demande la moitié de ce que tu gagneras. Maintenant chante un morceau le temps que je te serve de quoi manger et que serve du lait à ton petit. »

[Tu n'es pas soprano mais mezzo. Tu as la voix grave, chaude, contrastant avec ton apparence fragile. Elle est faite de sensualité même si tu ne la maitrise pas tellement bien. Tu chante juste et tu sais jouer du regard, mais rien n'indique un don supplémentaire.]
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Soyara

Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #5 le: 22 novembre 2010, 20:05:47 »
Soyara acciessa à ce que la tenancière lui demandait.  Chanter était dans ses cordes, et si elle aurait été prêtre à tout faire pour donner un peu de nourriture à son fils, elle était heureuse de pouvoir chanter au lieu de trimer à servir des clients.  Elle ferma les yeux quelque instant pour se concentrer et chercher ses chants en elle.  Elle ne maitrisait pas parfaitement sa voix, mais elle avait compris très jeune que les gens aimait entendre des sentiments dans la voix des chanteur et pas seulement une jolie voix ou de belle paroles.

Dans une taverne, c'était les chanson grivoise qui était habituellement populaire.  La jeune femme tâcha donc de ce mettre dans le bon état d'esprit.  Elle fit jouer doucement sa voix quelque seconde pour trouver la notre juste et commença sa chanson.

(Un homme de Annie Villeneuve - http://www.youtube.com/watch?v=flta9XC7LiI )

"Les yeux d'un homme
Parlent comme personne
Il faut seulement savoir les regarder
Ils ne savent pas toujours ce qu'ils nous donnent
Ils sont curieux il faut se l'avouer

Dans les couleurs de l'arc-en-ciel
Il n'y aura plus jamais la bonne
Si tout au fond de leurs prunelles
C'est toi seule, c'est toi seule qui rayonne

Les mains d'un homme
Et tout ce qu'elles façonnent
Se fermeront au nom de l'amitié
Ces mains qui donnent
Qui jamais n'abandonnent
Si doux que c'est difficile à oublier

Elles vous construiront des merveilles
Elles vous montreront les étoiles
Mais si on leur fait trop de reproches
Elles iront se cacher dans leurs poches


Elle avait une voix chaude, sensuelle aussi.  Si Soyara semblait petite et mince, sa voix était grave et contrastait avec cette apparence fragile.  Bien qu'elle ne semblait pas savoir la maitrisé encore parfaitement, c'était une voix juste et belle, pleine de potentiel.

Les mots d'un homme
Quand ils résonnent
Oh jurent de ne dire que la vérité
Les mots d'un homme
Tu sais quand ils fredonnent
Sont si bien soigneusement sélectionnés

Il te dira que tu es belle
Quand il voudra que tu pardonnes
Mais prêt à te donner le ciel
Certainement il sait que tu es la bonne

Le cœur d'un homme
Quand il se donne
Est si précieux, timide et réservé
Mais il est grand
Et très bien caché
Pour qu'on ne puisse jamais le lui voler

Que dans ses yeux qui font rêver
Que dans cette main qui se donne
Non plus rien ne sert de parler
Quand tu es simplement si bien à ses côtés
Oh ce n'est pourtant pas si compliqué"


Cependant, Soyara savait comment embrasé le regard des hommes et faire rire les femmes.  Elle avait grandit dans la rue où le spectacle était un peu toute sa vie.  Elle avait vendu son corps et avait pris quelque plaisir avec certain.  Elle avait une bonne expérience des regards et des geste subtil, mais efficace.  Elle ne voulait pas finir sa soirée violé, cependant, aussi, ce contenta-t-elle de regard, de sourire et de geste subtil, un mouvement de hanche, une caresse sur le bord d'une table.
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

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Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #6 le: 26 novembre 2010, 00:09:06 »
Les yeux restèrent à observer Soyara sous toutes ses coutures jusqu'à ce qu'elle suive la tenancière à l'arrière. Quand elle se mit à chanter pour un public invisible, la femme hocha doucement la tête d'un air de réflexion. Oui, si elle chantait et séduisait des hommes, elle aurait une bonne place ici. A condition que le bébé n'ait pas trop abîmé son corps évidemment: si certains aimaient les traces visibles d'une féminité éprouvée par un enfant, d'autres préférait le lisse vierge des corps de jeunes filles. Elle aurait toujours des clients si elle le souhaitait pourtant, cette petite demoiselle.

La dame n'était pas restée bouche bée à écouter Soyara: elle s'était au contraire affairée jusqu'à trouver de quoi souper pour la jeune mère, et du pain et du lait, avec un peu de miel pour le bébé. Elle mit de la mie à tremper dans du lait qu'elle sucra, avant de pousser le mélange vers Soyara:

« Tiens, pour ton gosse. Pour toi, attend que le ragoût soit réchauffé. Tu viens d'où et pourquoi tu viens te vendre ici avec ton bébé? Tu n'as pas essayé de te ranger? »
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Soyara

Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #7 le: 18 décembre 2010, 06:03:23 »
(Pardon, je ne m'étais pas rendu compte que tu avais posté, désolé.)

Soyara avait suivis les geste de la femme avec une certaine curiosité une fois qu'elle eu fini de chanter.  Quand elle lui tendit le plat pour nourrir son fils, elle ne se le fit pas demander deux fois.  Elle prit le bambin avec une grande tendresse et l'installa sur elle pour le faire manger.

Les questions commencèrent alors, mais cela n'offusqua pas la jeune femme.  Elle s'y était attendu, et c'était légitime de la part de la tenancière de les poser.  Nourrissant son fils avec tendresse, elle prit le temps de réfléchir à ses réponse.  Même elle n'étais pas complètement certaine.

Elle haussa finalement les épaules, elle n'avait pas vraiment de bonne réponse à ses questions.

"Je viens de Rethwellan, et si je viens me vendre ici, c'est tout simplement parce que je ne sais rien faire d'autre."

C'était une réponse assez simplette, mais c'était la seule qu'elle avait.  Elle n'avait toujours survécu que grâce au chants ou à ses charmes.  Que pouvait-elle espéré d'autre dans la vie ?

"J'aime profondément mon fils, et me vendre ne me fait pas vraiment peur, je suis encore belle, même si je suis mère, et c'est la seule façon que je connaisse pour gagner de l'argent et lui assuré de quoi manger."
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

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Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #8 le: 21 décembre 2010, 10:12:44 »
La femme écouta sans poser plus de questions. Elle hocha doucement la tête et finit par répondre:

"Je pense que tu dois être quand même pas trop débile pour avoir survécu jusqu'ici. J'pense que t'aurais d'autres façons d'gagner d'l'argent mais j'vais pas cracher sur des revenus en plus. Je veux quarante pourcent de ce que tu gagneras. En échange tu auras le coucher et le manger pour ton gosse et toi. Début de soirée tu chante, et ensuite clients. Si ça te va, t'es engagée. Le jour où tu veux partir, tu me devras un petit pourcentage de plus mais je fais jamais trop d'manières. S'appelle comment ton fils?"

La femme sourit et tendit la main :

"Tu commence demain, je te laisse te reposer ce soir et la journée de demain."

[ Rp d'intro clôt après ta réponse. Tu peux jouer un moment librement dans Haven (pas au Chateau/Collegia mais tu peux sortir de Haven à tes risques et périls. Considère que tu travailles le soir pour la mère maquerelle et que tu as tes journées libres. ]
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »

Soyara

Re: Prom'nons nous, dans les bois, pendant que le loup y est pas
« Réponse #9 le: 23 décembre 2010, 05:21:48 »
Soyara acquiesça à ce que demandais la maquereuse.  Elle n'allait pas faire la difficile, conserver soixante pourcent de ses gains, c'était déjà pas mal, surtout si elle était logé et nourris.  Et puis, elle avait trouver facilement du travail, elle n'allait pas se montrer difficile. La dame semblait relativement gentille, sans doute pas trop enclin à battre ou à maltraiter ses gens, donc c'était un bon emplois.

"Ça me va"

De même, demander un dédomagement en partant, ça faisait parti du métier.  La chanteuse savait très bien que dans la vie, on as jamais rien gratuitement, même la gentillesse.  Cette femme ne semblait pas trop regardante d'avoir à s'occuper de son fils en plus, elle allait prendre ce don du ciel avant que la dame ne change d'avis.
« Modifié: 01 janvier 1970, 01:00:00 par Guest »