[ désoler pour le retard ]
Elle haussa simplement les épaules, que dire? C'était en parti parce qu'elle n'était pas sa mère, parce qu'elle se sentait incapable de marcher sur ses traces que Lame avait accepter l'offre de contract du Capitaine. Puis ensuite, après avoir vu le bien qu'elle pouvait faire, après les horreurs, elle ne pouvait tout simplement plus s'en détourné... et Il était venu avec son histoire, celle de son père.
"Elle a toujours été renommé à ma connaissance, elle l'était avant ma naissance. Je pense qu'il est simplement naturelle que j'ai suivit ses traces et celle de mon père en parti. C'était une bonne mère, elle as toujours tout fait pour me donner un avenir et le choix de celui-ci. "
Elle regardait au loin en pensant à sa mère. Elle savait maintenant pourquoi elle avait dit à sa fille de se rendre à Valdemar si quelque chose devait lui arrivé. Elle ne pouvait même plus envisager une vie de mercenaire ordinaire aujourd'hui et pourtant, elle savait qu'elle pourrait y retourné éventuellement. Mais si elle le faisait, se serait pour tenir son serment à la Déesse.
"Je n’avais jamais envisagé autre chose que d’être aussi bonne qu’elle et de prendre sa suite comme mercenaire avant sa mort, je n’avais même jamais envisagé qu’elle puisse mourir. J’étais bien naïve, malgré ma vie par mont et vaux dans la guerre, je suis resté bien innocente sur bien des choses. "
Elle haussa à nouveau les épaules quand il parla de ses dons.
"J'ai toujours vu cela comme normal étant la fille de Griffeblanche, ma mère as toujours été vu comme la mercenaire idéal après tout et tous s'attendait avec logique que je sois aussi doué, sinon plus prometteuse qu'elle. Et j’étais fière de tout cela, comme si seul mes capacités pouvait me définir."
Il y avait un peu d'amertume dans sa voix, elle était jeune malgré tout et si sa vie avait tourné autour de ses dons quand elle était jeune, elle n'avait pas vraiment eu d'identité propre sinon qu'elle était la fille de Griffeblance et qu'il était simplement normal qu'elle soit si doué. Elle reporta finalement son attention sur lui quand il reprit la parole.
"Il y a une autre faiblesse à se don. Si vous ne ressentez pas la douleur, vous ne pouvez comprendre ceux qui la ressente et cela peux vous portez à mettre la vie des ses gens en danger simplement parce que vous ne pouvez comprendre à quel point la douleur peut être utilisé comme une arme. La douleur ne sert pas seulement d'avertissement, elle vous fait aussi sentir vivant, elle est une faiblesse, mais elle peut aussi être une force, vous donner la volonté de vous battre, vous n'aurez jamais accès aux réserve extrême de votre corps sans la douleur pour les déclencher."
Lamétoile ignorait tout de son don sommaire de parole par l'esprit, mais elle avait été élevée dans le monde des mercenaire, elle avait très jeunes apprit la plupart de ses aspect, si elle n'avait pas encore totalement la maturité d'une vétérane, mais elle en avait les connaissances et l’instinct. Elle savait, après la campagne du Col, combien la douleur était importante, physique et morale, elle avait vu les souffrances, elle avait vu les enfants, elle avait senti la magie et senti autre chose qu’elle ne pouvait définir.
Quand il lui passa la flasque, elle en prit une gorgée, elle n’aimait pas prendre trop d’alcool, contrairement à la plupart des mercenaires, parce qu’elle avait de drôle de penser et des migraines affreuse quand elle laissait l’alcool diminuer sa capacité de réflexion. Elle ignorait que c’était à cause de son don brut.
"Pourquoi pas, tu peux m’appeler Lame si tu veux, je sais que mon nom est un peu long."
Elle tenta de lui sourire, toujours un peu triste par ce qu’elle avait été et un peu jalouse de la capacité de cet homme à pouvoir en commander d’autre avec autant de facilité. Elle avait parfois l’impression que Beltran ne la gardait que parce qu’il lui avait fait certaine promesse quand il l’avait prise sous son aile, mais elle savait maintenant, avec tout ses nouveaux mercenaire comme Fitz ou Kalaïd, qu’il n’avait certainement plus besoin d’elle, qui demandait encore tant d’effort et de travail. Elle sentait Etyan à la limite de son esprit qui tentait de la réconforter. Elle sourie aux souvenir du lien qui s’était formé, quoi qu’il arrive, plus jamais elle ne serait seule.