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Espaces communs / Re : Un gros coup de main ~ Soyara/Sou
« le: 06 juin 2021, 21:11:15 »
La fillette ne semble pas comprendre ce que veux dire la domestique, mais Soyara ne s'en formalise pas. À son âge, elle non plus n'aurait pas compris. Les deux demoiselles se ressemblent beaucoup, et la jeune page lui donne une impression de déjà vu un peu troublant. Elle l'apprécie déjà, comment pourrait-il en être autrement ? Mais en même temps, elle le renvoi à ce qu'elle était autrefois, l'enfant mendiante de la rue, qui tentait de survivre par tous les moyens.
Finalement, elles retournèrent toute deux à leur travail. Soyara ne perdait jamais complètement de vue la petite, mais c'était surtout pour s'assurer qu'elle n'aie pas besoin de son aide. Elle était charmante à sa façon, et elle la laissa s'amuser et bavarder avec les soldats de la tente. Ça leur ferait du bien à tous et la jeune femme ne rechignait plus à travailler plus, au contraire, elle avait réussi à trouver une sorte de fierté dans le travail manuel, dans le fait d'accomplir quelque chose, de le faire bien, et d'en faire beaucoup. Elle n'avait plus besoin non plus de l'approbation des autres. Être satisfaite de son travail lui suffisait.
Elle observe un bon moment, les joueurs et les paris avant de décidé de les rejoindre. Elle sait qu'elle représente en quelques sortes, une autorité, et elle ne veut pas gâcher le plaisir qu'il semble tous avoir à ce moment. Mais finalement elle s'approche, comme de raison, toutes traces d'argents et tout cela à disparu, comme si elle ne les avait pas vu faire. Mais ce n'est pas le moment de leur dire qu'elle a elle aussi son passé peu reluisant. Tricher aux cartes ? Pourquoi pas. Elle était douée à toute sa jeune. Elle savait même faire les poches des gens, même si on ne lui demandait pas trop souvent, ça aurait été mal vu pour la maison close où elle travaillait, mais ça arrivait quand même souvent qu'on lui demande de le faire quand elle servait les clients à la section taverne.
Elle s'installa donc, prenant elle aussi son air le plus innocent et le plus charmeur. Qui penserait qu'une domestique est pu avoir une vie de débauche et de crime avant de travailler pour une noble dame.
"Pourquoi pas ? Vous m'expliquez les règles ? Cela fait bien quelques années que je suis à Valdemar, mais je ne connais pas encore bien tous les jeux."
Ce qui n'était même pas faux. Elle ne connaissait pas vraiment le jeu auquel il jouait plus tôt, même si à force de les observer tout en faisant ses tâches, elle en avait compris les grandes lignes. Une fois le jeu commencé et les règles expliquer, elle comptait bien se servir du fait qu'il la croyait naïve et inexpérimentée pour les flouer un peu et s'amuser.
Finalement, elles retournèrent toute deux à leur travail. Soyara ne perdait jamais complètement de vue la petite, mais c'était surtout pour s'assurer qu'elle n'aie pas besoin de son aide. Elle était charmante à sa façon, et elle la laissa s'amuser et bavarder avec les soldats de la tente. Ça leur ferait du bien à tous et la jeune femme ne rechignait plus à travailler plus, au contraire, elle avait réussi à trouver une sorte de fierté dans le travail manuel, dans le fait d'accomplir quelque chose, de le faire bien, et d'en faire beaucoup. Elle n'avait plus besoin non plus de l'approbation des autres. Être satisfaite de son travail lui suffisait.
Elle observe un bon moment, les joueurs et les paris avant de décidé de les rejoindre. Elle sait qu'elle représente en quelques sortes, une autorité, et elle ne veut pas gâcher le plaisir qu'il semble tous avoir à ce moment. Mais finalement elle s'approche, comme de raison, toutes traces d'argents et tout cela à disparu, comme si elle ne les avait pas vu faire. Mais ce n'est pas le moment de leur dire qu'elle a elle aussi son passé peu reluisant. Tricher aux cartes ? Pourquoi pas. Elle était douée à toute sa jeune. Elle savait même faire les poches des gens, même si on ne lui demandait pas trop souvent, ça aurait été mal vu pour la maison close où elle travaillait, mais ça arrivait quand même souvent qu'on lui demande de le faire quand elle servait les clients à la section taverne.
Elle s'installa donc, prenant elle aussi son air le plus innocent et le plus charmeur. Qui penserait qu'une domestique est pu avoir une vie de débauche et de crime avant de travailler pour une noble dame.
"Pourquoi pas ? Vous m'expliquez les règles ? Cela fait bien quelques années que je suis à Valdemar, mais je ne connais pas encore bien tous les jeux."
Ce qui n'était même pas faux. Elle ne connaissait pas vraiment le jeu auquel il jouait plus tôt, même si à force de les observer tout en faisant ses tâches, elle en avait compris les grandes lignes. Une fois le jeu commencé et les règles expliquer, elle comptait bien se servir du fait qu'il la croyait naïve et inexpérimentée pour les flouer un peu et s'amuser.