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Sujets - Melarianne de Garsenc

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Sujets libres / Ténacité [Libre]
« le: 22 novembre 2010, 22:06:42 »
Melarianne n'était pas très en forme, elle venait en plus d'apprendre que sa guérisseuse avec qui elle avait tenté de se lier était morte. Cela lui avait fait un grand choc, c'était une fille douce et naïve, rafraichissante et elle s'était confié pour la première fois à cœur ouvert depuis la mort de sa mère. Cela lui avait fait un énorme bien, mais maintenant, de savoir qu'elle était morte, cela lui faisait comme un trou dans la poitrine qu'elle tentait d'oublié. Elle avait fini par exiger qu'on lui amène au moins les affaires pressante dont elle devait s'occuper et elle avait du user de son autorité et user de son habitude à être obéi, ce qui l'avait encore plus fatiguer, pour qu'on accepte de demander à son scribe de passer porter les dossiers urgent qui lui avait été relayer par un guérisseur. Elle tentait donc de lire les dossiers, malgré la fatigue et de ne rien en montrer pour qu'on ne les lui reprenne pas. Elle avait justifié le fait de les lire comme un moyen de passer du temps tout en restant coucher. Mais la vérité était qu'elle était bien plus agité et nerveuse si elle savait qu'il y avait des dossiers à traité et personne pour le faire. Elle n'avait personne d'autre avec elle qui pouvait le faire. Personne pour prendre en charge sa fonction et elle ne voulait surtout pas perdre le peu qu'elle avait réussis à gagner depuis son arrivé et même avant. Pas question de perdre sa place à cause d'une fièvre, même si d'autre l'avait attraper.

Elle ferma les yeux quelque seconde avec un soupir discret de fatigue. Tout cela était épuisant, autant le fait d'être dans ce lit, malade alors qu'elle devrait être debout à gérer les affaires de Rethwellan en Valdemar, que le fait d'avoir fait confiance à Yaelle pour la perdre tout de suite après. Elle avait parfois envie de pleurer sur son destin, mais elle savait que cela n'arrangerait rien, cela n'arrangerait rien de se laisser aller, d'abandonner, sinon que ceux qui dépendait d'elle n'aurait sans doute plus personne. Elle savait que les vautour viendrait se repaitre de son désespoir si elle le laissait prendre le contrôle de sa vie et elle ne pouvait abandonner les petites gens qui dépendait d'elle. Elle ne pouvait pas, c'était la seule chose qui lui restait, le seule véritable lègue de sa mère, la seule chose qui lui restait d'elle autre que son apparence et son sang. En tant que nièce, mais seule fille proche du roi, elle était dans une position unique qu'elle ne pouvait gâcher par ses états d'âme et ses faiblesses. Elle prit une bonne inspiration et rouvrit les yeux, elle n'arrivait pas à se concentrer, ne pensait qu'à Yaelle, la jeune guérisseuse morte trop tôt. Une chanson que sa mère lui chantait quand elle était enfant, le soir avant qu'elle dorme, pour qu'elle n'oublie pas les autres. La musique lui vint naturellement.

[center:1ef5vjxw]Enfant d'ailleurs, enfants d'ici
Enfants douleur de tout pays
Enfants pieds-nus des [pauvre]villes
Enfants perdus du fond des villes

Enfants détresse, enfants mépris
Enfants tristesse au paradis
Les hommes n'auront jamais compris
Que dans vos larmes s'enfuit la vie

Enfant d'ailleurs, enfants d'ici

Enfants labeur, enfants profit
Enfants douleur trop tôt vieillis
enfants des guerres, enfants des armes
Enfants sans mère que l'on condamne

enfants des terres, enfants famine
Enfants misère qu'on assassine
Les hommes n'auront jamais compris
C'est votre enfance que l'on détruit

Enfants d'ailleurs, enfants d'ici

Enfants d'espoir, enfants courage
Dans nos mémoires, tous vos visages
Et qu'à jamais on se souvienne
Pour que vos larmes ne soient pas vaines

Enfants de rires et de soleils
Enfants d'avenir et de merveilles
Et qu'à jamais on se souvienne
L'enfant qui nait demande qu'on l'aime

Et qu'à jamais les hommes comprennent
L'enfant qui nait... demande qu'on l'aime.
[/center:1ef5vjxw]
[center:1ef5vjxw](c)Enfants d'ailleurs, enfants d'ici, Etienne Drapeau[/center:1ef5vjxw]

Sa voix n'était pas la belle voix pure et clair des bardes, mais elle avait une douceur, une justesse né de la pratique et de la sincérité. Elle chantait pour tous ceux qui souffrait des manigances des puissants, elle chantait pour son enfance perdu, pour sa solitude. Et cela lui fit du bien.

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Comme tout cela est étrange. Toute ma vie j'ai rêver de se moment, de se royaume et en quelques seconde, tout à été démolie. Où ais-je failli? Je suis la seule princesse de lignée de Rethwellan, et j'ai l'impression d'avoir été traité presque comme une importune. Je suis arrivé en grande pompe, comme l'étiquette le demande, dans mes plus beau atour, malgré la fatigue du voyage, pour aller saluer le Roi et son Héritié avec tout mon savoir faire. J'ai amener ma suite, bien que plus petite qu'elle ne l'aurait du étant donner les circonstance. J'ai user de tout mon art pour plaire et montrer ma sincérité et mon mérite. J,ai user de toute ma délicatesse pour faire par de l'offre de mariage, avec tact et discrétion. Bien sur, ceux qui connaisse le langage on sut immédiatement de quoi il retournait, ce genre de demande ne pouvait être fait en secret, il était simplement de bon ton de ne pas la leur jeter en plein visage, mais de faire savoir l'intérêt de mon royaume dans nos relation, au point d'offrir la seule princesse, même de ligné indirecte, en mariage.

Aurais-je du mettre plus de décorum? Aurais-je du attendre dans le privé? J'ai étudier la politique et l'histoire de Valdemar depuis la mort de ma mère, espérant trouver dans se royaume ma place, une place où je pourrais espéré être plus qu'une simple décoration. Je pourrait jamais être autre chose, mais je pouvait être plus. Du moins était-ce ce que j'avais espéré. Mais les choses sont tellement différente, je n'ai vu que du mépris sur les visage de tous, et même si je m'y était attendu pour cette offre qui devait couper les ambitions de beaucoup de famille et jeune fille, je ne m'était certainement pas attendu à en voir un peu dans le regard du Prince. Se regard, il était si pâle, comme si je venait de le blesser mortellement. Oh, ses manière était si polie, mais je pouvait voir la réalité dans se regard... j'y suis entrainer. Tant d'espoir réduit à néant. Lui comme moi devait savoir qu'un jour semblable arriverait! Nous sommes les enfants de notre royaume, nous nous devons à lui et si nous pouvons espéré avoir un peu d'influence sur notre destin, nous ne devons pas oublié chaque implication de nos actes! J'avais espéré un peu de respect, peut-être même un véritable amitié et n'ait eu droit qu'à une froide politesse et un regard presque désespéré.

Comble de l'ironie, alors que ma mission devait être secrète, une jeune fille sorti de nul part as étaler au grand jour les secrets de Rethwellan. Comment continuer dans ses conditions? Je ne suis pas une suppliante, je ne suis pas venu à genoux, mais debout, pour tenter de trouver dans l'alliance des solutions à nos problèmes respectif et voila que je perd tous devant tous. Je ne sais plus que faire, mais je dois faire bonne figure.

Que dois-je faire? Je reçoit aujourd'hui les dames de la haute société, j'espère pouvoir en apprendre plus sur le royaume et me faire voir comme il se doit, montrer mon savoir faire et surtout trouver des alliées.

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Sujets libres / Réflexion [Libre]
« le: 25 avril 2010, 21:31:45 »
Le soleil descendait doucement à l'horizon, ses rayons encore fort baissait en même temps que son orbite. Après la cacophonie de l'arrivé des délégations, le palais semblait revenir lentement à son agitation habituel. Seul le champs des compagnon semblait être prisonnier de sa léthargie, sans que rien ne puisse vraiment l'en sortir. Des compagnons était coucher regardait le soleil descendre à l'horizon, mais on pouvait presque toucher la tristesse et la peur dans l'air, l'incompréhension.

Après le voyage de Rethwellan jusqu'à Haven, Melarianne aurait pu se reposer, rester dans ses quartiers, mais elle avait eu besoin de solitude et surtout, de réflexion. Vêtu d'une robe simple et plus robuste que celle qu'elle avait porté à son arrivé, noir et or, elle était sorti du palais. Seule, majestueuse et noble, mélancolique aussi, elle s'était rendu au champ. Elle avait lut et s'était renseigner sur les compagnons, mais n'avait jamais put que les voir loin. La seule fois où elle en avait vu un de proche était à la dernière visite du Roi Urien, treize ans plus tôt. Jamais elle n'avait eu la chance d'en voir depuis, sinon durant les arrivés officiel des Ambassadeurs Hérauts. Elle voulait voir ses symboles de liberté, ses êtres qui pouvait juger les cœur des hommes et des femmes, sans distinction et trouver les plus méritant pour servir les petits comme les grands.

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Elle n'était pas venu pour la couronne, ou pour le pouvoir, contrairement à ce que tous pouvaient penser. Elle était venu pour son cœur, pour se rêve qui lui avait permis de garder une partie, une toute petit partie, d'elle-même intact à travers le temps. Elle n'avait jamais cru en un dieux ou une déesse en particulier, mais elle avait toujours fait de son mieux pour le peuple. Elle n'avais ni don de l'esprit, ni don de mage ou de barde et elle n'avait aucun talent avec les armes, quelle qu'elle soit. Tout ce qu'elle avait pour essayer de rendre se monde un peu meilleur, s'était son rang, son sang et sa personne. C'était tout ce qu'elle avait à offrir, son support, sa présence, et le royaume qu'elle représentait. Elle ne s'était jamais fait d'illusion, elle savait qu'un jour, on tenterait de l'utiliser pour son ascendance, et elle savait qu'elle ne pourrait rien y faire. Mais elle avait découvert qu'elle pouvait utiliser cela pour aider et non pour contraindre. Enfant, elle avait presque espéré être choisie pour échapper à son destin, mais l'adulte d'aujourd'hui savait que se n'était qu'une utopie et une pensée égoïste. Où qu'elle aille et quoi qu'il se passent, elle ne pourrait renié son sang et son rang, jamais. Il y aurait toujours quelqu'un pour en prendre avantage, et il ne tenait qu'à elle de le faire avant dans le sens qu'elle le voulait.

Elle regardait les compagnons dans le champs, triste pour eux, triste de voir que même eux devait souffrir dans se monde mortel. Elle n'avait jamais cru en l'amour, même si son cœur s'en désespérait, parce qu'elle était Melarianne de Garsenc, princesse de Rethwellan, mais elle avait espéré, juste un peu, pouvoir trouver du respect dans se royaumes et peut-être des gens qui puisse tenter de la comprendre et non de la juger sur son seul rang. Elle avait sentit son destin dans se royaume, espéré qu'elle pourrait y faire quelques chose de vrai. Mais elle avait été déçu, elle avait lut dans le regard du prince tout ce qu'elle représentait et il n'y avait eu nul place pour le respect ou la compréhension, juste un désir de la fuir, un désir qui lui avait fermer le cœur. Elle ne pouvait pleurer, elle n'avait plus verser de larme depuis que son père le lui avait interdit, depuis le noir et la solitude imposer pour l'endurcir. Elle les avait toutes verser égoïstement sur elle, qui venait de perdre sa mère. Mais elle pouvait fermer les yeux et laisser la douleur sourdre de son cœur, le laisser s'ouvrir au vent et aux dieux qui pouvait écouter une simple mortelle comme elle, indigne de leur attention, pour que la blessure saigne et ait une chance de guérir, pour se soulager de la douleur devenu presque trop grande après toute ses années à cacher son âme pour en garder une partie, une toute petite partie, intacte. Parce qu'après, quand elle rentrerait, elle devrait jouer le jeu politique le plus important de sa vie, sans état d'âme. Parce qu'elle devrait de nouveau refermer la porte de son cœur et de son âme. Parce qu'elle n'avait le droit ni à l'erreur, ni à la faiblesse.

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RECENSEMENT DU ROYAUME
[Au choix :] Rethwellan



Nom : De Garsenc de Rethwellan
Prénom :Melarianne
Age :21 ans

Région d’origine :Rethwellan
Métier/Vocation:Princesse de Rethwellan, Reine de la Cour d'Amour et Noble Dame

Description physique :Melarianne est une perle, la perle de Rethwellan. Tous les nobles s'entendent pour le dire, elle est la plus belle femme du royaume et peut-être de toutes. Ses long cheveux blonds-roux, plus blonds l'été et plus roux l'hiver, sont légèrement ondulés, soyeux et souples, ils se coiffent à la perfection. Son visage ni trop pointu, ni trop rond, avec sa peau de pêche, lui donne un air de noblesse et de douceur qui vont droit au cœur des gens. Elle n'est ni trop grande, pour faire peur au homme, ni trop petite pour qu'on la regarde trop de haut. Sa taille n'est pas celle d'une guêpe, mais elle en est juste assez loin pour avoir des atouts proportionnés, sans être aguicheur. Son regard émeraude vous donne envie de vous y noyer et la touche de douceur et de force qu'on y trouve maintient les gens à une distance suffisante. Sa voix est aussi claire et douce qu'un ruisseau de printemps et sa grâce naturelle et apprise en font une Dame parmi les nobles. Elle porte une seule et unique cicatrice, faite par un fouet, le long de sa colonne, juste au dessus du bassin, pas très grande.

Cheveux :Blonds-roux
Yeux :Verts émeraude
Teint :pêche
Taille :5'5"
Corpulence :juste assez opulente.
Attitude :Noble et lointaine

Description comportementale : Melarianne est une Noble Dame dans tous les sens du terme. Elle est douce et prévenante, toute en restant réservée. Elle n'est pas une dirigeante, mais elle a appris à savoir comment aider un époux à être un bon dirigeant et comment le supporter pour qu'il puisse se consacrer à ses gens. Elle aime les promenades en solitaire, et bien qu'elle soit la reine de la cour d'Amour de Rethwellan, c'est son passe temps favori. Elle sait tout des manières de la cour et bien qu'elle le pourrait, elle n'use jamais de son charme pour manipuler outre mesure les autres. Elle répond toujours à la courtoisie, qu'elle vienne d'un roturier ou d'un prince avec la même douceur, changeant simplement de réponse selon la personne, pour que personne ne se sente insulté. Elle semble toujours être là quand on a besoin de douceur et on ne l'a jamais vu élever la voix. La seule chose qui la terrifie dans la vie est son père et de se retrouver enfermée seule dans le noir.

Qualité principale :Sa douce grâce
Défaut principal :Sa trop grande soumission

Don ordinaire : Un charme et un charisme très puissant.

Animal de compagnie :Elle a une jument beige nommé Sable qu'elle aime beaucoup

Description Historique :Melarianne est princesse de Sang de Rethwellan, par sa mère qui est la soeur du roi et par son père, qui en est un cousin. Nièce du Roi, et seule fille de la lignée proche, sa mère a été donnée en mariage à un jeune cousin du roi, qui s'est rapidement hissé comme conseiller principal et meilleur ami du prince héritier. Karilien de Garsenc est un homme dur, à la lignée sombre, descendant des dirigeants d'Hardon et déjà mêlé au sang Royal de Rethwellan, une lignée au charisme si puissant qu'il ont toujours su se garder au dessus des nobles. Jusqu'à ses huit ans, Melarianne a surtout été élevée par sa mère, ses années sont ses plus belles, celles où sa mère lui apprenait ce que devait vraiment être une princesse de Rethwellan et une future épouse. Mais petit à petit, la sœur du roi a perdu cette petite étincelle de joie qu'elle avait dans le regard. Éteinte, elle ne s'ouvrait qu'avec sa fille, mais même cette dernière avait commencé à sentir quelques choses d'étranger entre sa mère et son père... de la peur. Son frère, qu'elle voyait peu, changeait aussi, il devenait de plus en plus suffisant, allant parfois même jusqu'à mépriser celle qui lui avait donné le jour. Un jour d'hivers, alors que la jeune princesse avait huit ans, sa mère disparut, on ne la retrouva que plusieurs jours plus tard, dans la forêt, en partie déchiquetée par des bêtes.

 À partir de ce jour, son père prit en charge son éducation et fit venir des préceptrices et des nobles dames pour éduquer sa fille. Les temps sombres de son existence commencèrent. Pour chaque fois qu'elle ne montrait pas la soumission requise à son père ou à son frère, son aîné, elle était punie. On l'enfermait dans une pièce sombre, sans fenêtre, ni meuble du soir à l'aube. Jamais son père ne leva la main sur elle, mais ce n'est qu'à quatorze ans qu'elle sut pourquoi. Elle aimait regarder son frère s'entrainer, s'imaginant que c'était un prince qui maniait l'épée pour la délivrer de sa prison dorée. Quand son frère la surprit à le regarder pratiquer l'escrime, il venait d'essayer une manœuvre dangereuse et était tombé. Fou de rage, il prit sa sœur pour canaliser sa colère, au lieu d'accepter son échec. Que quelqu'un l'ait vu échoué le mettait hors de lui. Attrapant un fouet qui trainait non loin de là, il la projeta au sol et claqua sur son dos le fouet. Le sang sembla exacerber sa folie, mais avant qu'il ne puisse donner un autre coup de fouet, son père l'arrêta et le gifla fortement. Il ne voulait pas que son trésor, capable de lui ouvrir les portes des autres royaumes, soit abimé. Elle était trop précieuse.

À partir de ce jour, elle sut que son père et son frère ne l'aimeraient jamais, quoi qu'elle fasse. Alors, elle fut presque brisée, elle se soumit. Au fil du temps, sa beauté devint de plus en plus grande et son père commença à l'utiliser à ses propres fins. Les seuls moments où elle se sentait elle-même étaient ses moments de solitude où elle pouvait aller dans les jardins observer les jardiniers et les guérisseuses, glanant le plus d'informations sur les herbes et plantes possible. Le reste du temps, elle était une parure, le bijou que son père voulait. Mais elle se souvenait aussi d'une visite de Valdemar à son oncle et du prince, qu'elle savait encore célibataire. Durant les trois dernière année, elle a travaillé pour avoir le poste d'Ambassadrice de Valdemar et faire accepter une demande de renforcement des liens entre Valdemar et Rethewellan, distendu par le temps. Aujourd'hui, ce qu'elle voulait se réalise enfin, le Roi as accepter de renforcer les liens, et non seulement elle ira à Valdemar, mais munie d'une demande d'alliance par le mariage en bonne et due forme. Il ne lui reste plus qu'à prié que le promis choisie par le Roi soit le prince Arthon, pour échapper à son père.

Hors-jeu :
Que désirez vous faire de votre personnage ?Épouse de Arthon, si aucun amour ne se développe entre eux, qu'il puisse y avoir du respect et de l'amitié. Peut-être éventuellement créé une Cour d'Amour.

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