Auteur Sujet: [Héraut du Roi] Alemdar, dit Le Valdemaran  (Lu 3727 fois)

Héraut Alemdar

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[Héraut du Roi] Alemdar, dit Le Valdemaran
« le: 23 janvier 2014, 08:31:47 »
RECENSEMENT DU ROYAUME
Valdemar



Nom : Firyngde (peu utilisé), dit « Le Valdemaran », « Le Moine » ou « le Moine Valdemaran »
Prénom : Alemdar
Age : 33 ans ( né le 8 eme jour de la 1er décade d'été 1452)

Région d’origine : Rethwellan, Petras
Métier/Vocation: Heraut du Roi.

Description physique :
Alemdar est un grand escogriffe tout en longueur. En fait, il a un peu l’air d’être passé dans une étireuse à guimauve. Cela dit, il n’est pas seulement grand. Il a de bonnes épaules et une musculature honorable pour un homme qui manie l’épée et tous les dérivés depuis ses huit ans. Ouais… honorable… Pour un homme de sa taille, il s’apparente un peu au cure-dent quand même. Et ça le complexe.

C’est un homme à la fois pratique et cérémonieux. Enfin… C’est compliqué. Ses goûts le poussent plutôt vers des tenues sobres et pratiques, mais à la cour, il avait un rang à tenir. Vis-à-vis de son lignage et vis-à-vis de ses charges successives. Il aimait bien l’uniforme de capitaine de la garde. Plutôt sobre, malgré les quelques dorures rajoutées à l’uniforme de base… Etre général, par contre, c’était l’horreur ! Mais en temps qu'attitré, il peut generalement porter un uniforme blanc assez simple, et ça c'est bien.




Cheveux : blonds, bouclés (ce qu’il trouve ridicule)
Yeux : gris très clairs
Teint : légèrement halé
Taille : grand
Corpulence : mince et musclé
Attitude : Souple et sur ses gardes.

Description comportementale :

Alem’ est le produit de ce qu’on a fait de lui. Discret, efficace, à cause de la Reine Lyria, il a vite appris que rester en vue des puissants, s’il ne contrôlait pas absolument la situation ne lui apporterait que des problèmes. Il est l’un, si ce n’est LE meilleur escrimeur de Petras, voir du pays.

Il a appris à commander très jeune, mais aussi à obéir. A connaitre sa place en fait. Mais attention, il la connaît, très précisément et si vous ne la lui accordez pas, il pourrait devenir agressif. Il ne le sera pas physiquement, car ses idéaux chevaleresque lui interdisent de se battre avec autrui pour des futilités : il risque trop d’humilier ou de blesser son adversaire. Mais il le sera verbalement, et ironiquement, surtout. Alemdar est un homme qui ne mâche pas ses mots.

Vous l’aurez remarqué, c’est aussi un homme très orgueilleux. A sa décharge, il a quelques bonnes raisons de l’être. Son lignage, son aisance aux armes, celle en stratégie guerrière… Et surtout, dans une Cour périodiquement dominée par une Reine qui le haïssait, il devait dresser l’échine ou disparaitre.

Qualité principale : Loyal
Défaut principal : Colérique

Don ordinaire : Escrimeur hors du commun.
Dons Heraldiques :
  • Don de la Terre
  • Parole par l'esprit
  • Voix de commandement
  • Un quatrieme truc que son ane batté de Compagnon ne veux pas lui révéler.

Langues parlées :
Maternelles:
Rethwellan
Valdemaran (mais parfois un peu bizarre, mâtiné d'expressions propre à lui et a sa mere, presque la seule personne avec qui il parlait cette langue)
Apprises:
A voir avec la chef


Description Historique :

Alemdar est dit « Le Valdemaran » car c’est l’enfant d’une maitresse Valdemaranne du roi Gedric de Rethwellan. Il est né à la cour  de Rethwellan, des amours du prince héritier de l’époque, Gedric  Jadrevalyn et d’une marchande de passage qui avait suffisamment tapé dans l’œil de Gedric pour qu’il l’installe dans un chouette appartement du palais, commodément proche de ses appartements. Les choses étant ce qu’elles sont, environ deux ans après le début de leur liaison, un petit nain blond parut… environ deux jours avant le mariage de son royal père. Plus précisément au moment même où la délégation amenant la future princesse, Lyria d’Iraco, arrivait. Evidement Gedric était là où le protocole l’exigeait, à accueillir sa fiancée, mais il avait été atrocement distrait et avait fait quelques affronts protocolaire à sa fiancée. Alemdar avait toujours eu le sens du timing.

De ce fait, si Alemdar grandit heureux à la cour, il dut de tout temps aviser avec l’hostilité de la princesse, puis de la Reine Lyria.  La naissance du prince héritier, Rafael, fut une étape difficile dans la vie du petit garçon. Lui qui avait toujours été traité par la cour presque comme un prince, il ne devint qu’un bâtard du Roi. Il se mit à piquer des colères monstrueuses à propos de pourquoi il ne pourrait pas être roi, lui, pourquoi il n’était pas Prince, puisque son Papa était le roi ! Que même il devait devenir Roi ! Il était plus vieux que ce bébé de Raf’ !

Mais Brynne, sa mère, lui expliquait à chaque fois avec une patience admirable (après lui avoir collé deux claques pour le faire arrêter de hurler) que ça venait du fait qu’elle n’avait pas épousé Papa et qu’il fallait que l’héritier vienne d’une union bénie des dieux pour qu’il monte sur le trône. Ce à quoi l’enfant répondait qu’elle n’avait qu’à épouser Papa ! Et tout aussi patiemment, elle expliquait à son fils que son papa avait besoin de l’appui de la puissante famille d’Iraco et que c’était pour ça que son papa avait épousé Lyria d’Iraco. Ce à quoi l’enfant répondait que Lyria était rien qu’une méchante. Brynne se retenait alors d’approuver et rappelait à l’enfant le respect dû à la Reine.

Heureusement, l’année suivante, on lui découvrit de remarquables aptitudes à l’épée, ce qui distraya l’enfant des questions sur sa légitimité. Son royal père décida qu’il serait entraîné à devenir le bras armé de son petit frère. Alemdar ne s’en plaignait que rarement. Il adorait l’entrainement à l’épée, il trouvait cela facile, bien que certains de ses mouvements semblent impressionner les adultes et les petits jeux stratégiques qu’on lui faisait avaler l’amusaient beaucoup. Il y devint vite très bon.

Gedric avait eu une bonne idée d’orienter son ainé vers les arts des armes. L’enfant s’y épanouit remarquablement bien et bien qu’il soit parfois un peu amer de sa condition de bâtard royal. Il n’en laissait rien paraître. Avec toutes les foutus rumeurs que la reine aimait faire courir sur lui, il n’aurait pas fallu qu’il moufte. Si on se fiait aux bruits de couloirs, il était tantôt Shaysh, tantôt amateur de très jeunes partenaires, voir de jeux… sanglants. Ces rumeurs s’appuyaient souvent sur le fait que le jour où sa bande d’amis (crétins, ajoute-t-il) l’a trainé dans un bordel, il a fait la conversation à la prostituée au lui de la sauter. Ses amis et alliés politiques le surnomment « Le Moine », mais il n’y peut rien si franchement, ce genre d’intimité… ne l’intéresse pas. Le dégoute même un peu d’ailleurs.

Un coup dur fut le départ de sa mère de la cour, l’année de ses seize ans. Bien sûr, il savait que Gedric ne fréquentait plus la couche de Brynne depuis plusieurs années, mais ce fut dur de la voir non seulement perdre officiellement les faveurs royales mais en plus de devoir être séparé d’elle. Cela dit, elle n’était pas démunie. Gedric lui avait offert le petit domaine de Firyngde, dans les montagnes près de la frontière Valdemaranne. Le point positif, dans cette histoire, c’était qu’Alemdar avait un endroit où retourner, désormais, si son frère le chassait, à la mort de leur père.

D’un coup, il comprit que c’était le but de ce don. Que le domaine était plus pour lui assurer un avenir que pour celui de sa mère, qui aurait très bien pu vivre dans un coin du palais jusqu’à la fin de ses jours. Mais c’était LUI, le fils ainé du roi. C’était LUI que la reine haïssait. Lui risquait fort des bricoles si Lyria survivait à son époux. Une mère a tant d’influence sur son fils…

Cette révélation poussa l’adolescent à se rapprocher de son petit frère, à partager ses jeux, à l’aider à l’épée. S’il devait préparer son avenir, ça commençait par de bonnes relations avec le futur roi. La relation des deux frères s’étoffa et s’épanouit donc dans les années qui suivirent. En fait, alors qu’il avait, en toute honnêteté, approché le gamin par intérêt, le soldat s’attacha énormément à son petit frère. Il n’était certes pas bien fin et pas du tout prêts à son rôle, mais c’était un gentil garçon. A eux deux, ils arriveraient à gérer le pays.

Ce qui faillit briser les relations entre les deux frères vint évidemment de la Reine. Reine qui, même depuis sa tombe faillit gagner. L’animosité entre l’épouse et le fils ainé du roi était connue, reconnue et amplifiée par la rumeur. A la mort de la harpie, Alemdar cru bien que Rafael allait l’accuser ou lui en tenir rigueur. Ce ne fut heureusement pas le cas. Cela dit, Alemdar ne cacha jamais à son frère ni son animosité pour la reine, ni son soulagement à son décès. Il était clair qu’il regrettait le chagrin de son petit frère, mais qu’il ne pleurait certainement pas Lyria.

Les années passèrent. Arrivé au bout de son apprentissage, Alemdar intégra la garde, puis en pris la tête en 1478. (Oui, oui, à 24 ans, un papa roi, ça aide au piston.) Et deux ans plus tard, c’est le drame. Gedric, encore un vaillant cinquantenaire invita son ainé à diner dans ses appartements privés. Ils discutèrent de beaucoup de choses ce soir-là. De l’avenir d’Alemdar, de celui de Gedric, qui avoua son envie de reprendre épouse, histoire d’engendre quelques filles. C’était peut être juste son imagination, mais Alemdar se demanda plus tard s’il ne parlait pas  de sa mère, si c’était sa façon de lui dire qu’il aimait Brynne, en fait. Le lendemain, il apprit brutalement que son père avait fait une « attaque ». Genre. Gedric ne reprit jamais conscience. Alemdar le sait, il l’a veillé jusqu’au bout.

 Non seulement le jeune homme s’en voudra toute sa vie, mais une fois de plus, il sentit les soupçons peser sur lui. Il avait la confiance totale du roi, il avait diné avec lui la veille et un usurpateur avait prit le pouvoir le lendemain. Usurpateur qui le nomma directement à la tête des armées Rethwelliennes. En toute honnêteté, même Alemdar se serait soupçonné s’il ne se connaissait pas si bien. Mais une fois de plus le lien entre les deux frères ne souffrit pas de ces soupçons. Au premier abord…

Parce que tandis que Rafael s’enfonçait enfin dans une étude sérieuse de son rôle de monarque, Alemdar ne voyait qu’une seule chose : Thelarson. Ce fils de pute ne tirait pas une seule note à l’Epée. Toute son éducation, tout son sens du devoir lui disait, au début, puis lui hurlait qu’il fallait faire quelque chose. Maintenant. Tout de suite. Pas dans dix ans. Dans dix ans il ne resterait rien du pays !

Au bout de deux ans, à bout de patience, Alemdar finit par coincer Rafael entre deux portes pour lui ordonner presque de le monter, ce foutu coup d’état ! Qu’ils devaient reprendre leur pays à ce remueur d’ordures ! MAINTENANT, pas dans deux ans !

Mais l’héritier décréta qu’on ne renverserait pas Thelarson. Pas comme ça. Pas maintenant. Qu’on allait s’enfuir.

S’enfuir !

Alemdar était la meilleure lame Rethwellan et on lui demandait de courir dans les jupons blancs de Valdemar ! Mais POURQUOI avait-il raconté toutes ces histoires de héraut à son frère ? Ça lui avait ramolli le cerveau !

Il n’y avait plus qu’une chose à faire. Le régicide. Il devait… Tuer… Raf ? Ô Dieux, il ne voulait pas ça. Jamais. Mais avait-il le choix ?

Pour trouver le courage de le faire, il lui fallut tout le chemin entre la capitale et Firyngde, le domaine de sa mère, situé un peu avant la frontière. Ils y faisaient étape et comme toujours, Rafael avait gazouillé toute la soirée à propos de ces satanés Héraut. A l’entendre, ils arriveraient, remuaient leurs chevaux magiques et *Pouf !* plus d’usurpateur ! Pendant ce temps, Thelarson rependais ses putains de grosses fesses sur le trône de leur Père ! Ce gosse n’avait-il donc aucun amour propre ! C’était SES terres qui étaient spoliées, souillées par une magie dangereuse ! SES paysans qui souffraient ! SON pouvoir qui était détourné et il ne faisait RIEN ! Sans parler des crises débilitantes qui laissaient tous les fils de Gedric hagards et impuissants de trop longs moments ! Il aimait cet abrutit, mais quand un cheval est trop idiot, on l’abat !

Le soir même, l’ancien général des armées Rethwelliennes, maintenant déserteur, se dirigea vers la chambre de son frère, un poignard à la main. Il entra, doucement et un objet, reflétant les lueurs du feu endormi, attira son regard. C’était…

L’épée qui chante.

Celle qui n’avait jamais brillé entre les mains de l’usurpateur. Celle qui dégageait un chant céleste entre les grosses mains de Papa.

Sans bruit, il se saisit de l’arme qui resta muette. Oui, c’était normal. Il y avait Raf avant lui dans la ligne de succession… Pris d’une impulsion bizarre, il se dirigea vers son frère, ronflant paisiblement dans son lit. Il saisit sa main et y glissa le pommeau de l’arme.

Quelques notes timides résonnèrent dans le silence soudain.

Alemdar faillit en lâcher la relique. Perturbé, il la posa au sol et sortit, oubliant le vieux poignard anonyme qu’il avait posé sur le manteau de la cheminée.

Il tituba jusqu’à la petite cour du manoir, incapable de savoir quoi faire de ce qu’il avait vu…

Par contre, là, à l’horizon, c’était une troupe. Et ça, il savait quoi en faire : donner l’alarme et se carapater.

Ils ne purent emporter grand-chose, et en plus, ils se chargèrent en plus de Brynne de Firyngde et de ses deux domestiques, montés sur des mules, ce qui les ralentit d’autant (sur terrain plat seulement. Dans le chemin de montagne qu’ils furent forcé d’emprunter, bien des soldats montés sur de superbes demi-(enfin demi…) sangs Shin’a’in envièrent le cuisinier et la gouvernante).

C’est épuisés et miteux qu’ils arrivèrent enfin à Haven, accompagnés de deux hérauts.



Et depuis ?

Il y  a une expression hardornoise qui parle du « taureau dans la pièce » pour parler d'une situation anormale mais que tous les gens touchés par elle ignorent résolument, mais que les gens extérieurs voient parfaitement. On pourrait ainsi décrire la manière dont le comportement d'Alem fut reçu à Haven. Alors que ses hommes n'arrivaient pas à regarder le problème en face, les hérauts le virent et firent surveiller Alem. Heureusement, parce qu'un jour, profitant d'une petite seconde de négligence du garde, il tenta a nouveau de tuer son frère. Malgré les hallucinations que son cerveau embrumé créa pour le ralentir, il y serait sans doute parvenu si le garde n'était pas revenu a temps pour l’assommer.

Il s’avéra qu'Alem était en fait possédé par un des sbires de son oncle. On avait soigneusement amplifié sa colère et sa jalousie pour le pousser à éliminer Raf. Horrifié, incapable de se faire confiance après cette révélation, Alem mit des décades à retrouver une estime de lui correcte. Mais grâce aux soins de qualité, a quelques discutions avec Riannon, victime du même genre de sévices et a l'amitié du héraut Wylan, il finit par se remettre.

C'est a peu prés a ce moment là que l'Attitré et son Compagnon eurent l'idée « brillante » de mourir. Quelques saisons seulement après le roi, a la veille d'une guerre. Super timing.

Et a sa grande surprise, Alem fut choisis par le nouveau Né-du-bosquet pour devenir le Héraut d'Arthon. Les débuts ne furent pas des plus faciles, Alem ployant sous la tache herculéen de faire la passation de connaissance d'une morte, dans un pays qu'il connaissait mal. Et par dessus le marché, il y avait Arthon qui était aussi chaleureux qu'un glaçon, ce qui aidait beaucoup. Heureusement, au fil des mois et des années, tout cela s'est décanté et le roi et son Heraut ont finit par former un duo efficace, bien qu'Alem ai mis un moment à s'habituer au fait que son monarque fasse occasionnellement des remarques sur euh... Comment dire ça. Euh... enfin sur son cul quoi.

Bref...

Sinon, Il a pris beaucoup d'aisance dans ses fonctions. Désormais sur de lui et moins débordé, il assure une présence à la cour assez forte, aux cotés de la reine Saskia. Il s'y montre charmant et compétent, finalement très a l'aise dans cette position indétrônable d'Attitré.

Par ailleurs, il est bien content que Jarhindel ai choisis de s'installer à Haven. Il n'a pas fait la dernière campagne, repéré l'hiver précédent par Berem, le maître d'arme vieillissant. Alem est bien content de voir son camarade de longue date s'installer durablement à Haven.

Hors-jeu :
Que désirez-vous faire de votre personnage ?
Essayer de faire marcher le pays droit. Un minimum ?

(Oui, c'est un vœu pieux. Il sait)
« Modifié: 01 avril 2020, 23:24:39 par Héraut Alemdar »

Pour les mp, voyez avec la grise qui aspire à devenir archiviste, là, Isabeau de Girier, me semble

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Re : [Héraut du Roi] Alemdar, dit Le Valdemaran
« Réponse #1 le: 26 mars 2020, 10:17:46 »
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