[center:3mljw583]L’adieu de troisème âge[/center:3mljw583]
L’obscurité s’élargit au fur et à mesure que s’amenuise mon avenir. Devant les fleurs empoisonnées de la vie, les rêves se brisent et se muent en irréelle absurdité.
Le monde est, à l’évidence, dépourvu de savoir quant à l’enseignement de sa science, bien au-delà de la vérité pure se trouve l’imagination sans borne qui conduit chacun de nous vers son destin.
Je souhaite te trouver, toi, mon esprit à la dérive, perdu dans les limbes organiques de mon corps vieillissant.
Je fuis désormais ce que je suis et deviens ce que je serais, que ce soit devant Dieu, devant l’homme, ou devant l’être aimé.
Adieu