Enora ne ce retira pas du contact de son aîné lorsqu'il mit ses grande main de guerrier sur elle. Au contraire, elle trouvait cela presque réconfortant. Presque toute sa vie, les contact physique avait été rare, sauf lors d'entrainement, ou avec ses vraie amie. En fait, le premier à vraiment en user, avait été Ann'dra, son presque frère. Pas étonant à l'époque qu'elle fut tombé amoureuse de lui. Elle avait tant eu besoin de ses démonstrations d'affection, de ce contact physique avec d'autre. Elle sourit, et lui laissa voir qu'elle appréciait le geste.
Lorsque Fitz lui conseilla de cesser de s'excuser, Jorel sembla amusée dans l'esprit de la jeune femme, bien qu'elle ne compris pas du tout pourquoi.
"Pour une raison qui me semble très obscure, la remarque que vous venez de me faire amuser énormément mon compagnon."
En fait, Enora ne s'en rendait pas vraiment compte à quel point elle s'excusait presque tout le temps. C'était en grande partie à son éducation de noble sans doute, et à cette culture de devoir plaire au autres, au plus noble que soit, au plus puissant. L'étiquette était en grande partie basé sur ce genre de concept, et même si Enora n'aimait pas vraiment en être esclave, elle avait grandit dans ce contexte. Elle avait réussi à en rejetter une grande partie, et à en utiliser presque tout le reste plutôt comme un outil, un moyen d'aidé les autres et d'être à leur écoute, mais il restait une grande part en la jeune femme de 17 ans. Cette partie qui avait été façonner d'être la plus jeune et de loin de ses parents, d'avoir la pression de toujours faire de son mieux, de devoir être parfaite.
Ensuite, Fitz l'invita à s’asseoir avec lui par terre et partager une gourde. Elle se sentit un peu amusé que le lieutenant put pensé qu'elle cru qu'il pouvait boire durant son tour de garde.
"Cela ne m'aurait pas effleurer l'esprit si vous ne l'aviez pas suggéré Lieutenant. Je ne crois pas que vous seriez arrivé à un tel grade si vous picoliez durant vos tour de garde." C'était dit avec un tel sérieux, Enora était parfois complètement imperméable à l'humour de certaine situation.
Alors la discutions sérieuse commença. La première question était bien entendu rhétorique. Non, Enora ne savait pas d'où venait le lieutenant. Avant qu'il ne commence à leur donner des cours, elle ne l'avait jamais même vraiment remarquer. Elle savait son grade, son nom, mais rien de plus.
Elle écouta alors avec attention, et compassion aussi, l'histoire de Fitz. Ce qu'il avait vécu était bien plus horrible que ce qu'elle même avait vécu. Certes elle avait été intimidé, mise de côté, ou physiquement harassé, mais rien de vraiment mèchent. Son enfance à elle avait été privilégié. Son silence était ce qu'elle avait de mieux à offrir cependant pour me moment, elle le comprenait. Aussi écouta-t-elle donc avec ce silence, cette concentration qu'elle pouvait rassemblé.
Elle hocha la tête quelque fois, elle savait que le combat, le vrai, n'était pas un échappatoire. L'année dernière, quand la troupe qui était partie avec elle pour les plaines avait massacré des voleurs, elle avait été horrifié. Aujourd'hui, cependant, elle comprenait qu'il avait fait leur choix, et elle comprenait encore mieux à quel point la frustration d'homme et femme de combat peut être pesante, demandant. À quel point l'effort physique peut être une délivrance. Elle mis sa main sur l'épaule du soldat, légèrement, comme pour lui dire qu'elle écoutait, qu'elle était là elle aussi. Puis, elle la retira, elle n'était pas la plus forte pour les démonstration physique d'affection. Elle ne comprenait pas parfaitement la douleur que la mort de son compagnon, et surtout l'annonce de cette mort à une mère, avait put être pour Fitz, mais elle compatissait, elle pouvait imaginé un tant soi peu.
Lorsqu'il parla de la différence comme une force, Enora ne put s'empêcher de sourire tristement. On le lui avait dit, elle le comprenait aussi. Surtout grâce à Jorel, Ann'dra et Arthon. Avant, elle le voyait comme une faiblesse, maintenant, elle n'était plus trop certaine. Elle savait que ce n'était plus une faiblesse, elle acceptait sa différence physique, tant qu'elle aurait Jorel, de toute façon, elle ne serait jamais seule. Même si contrairement au autre hérauts ils ne pourraient jamais discuter en esprit, même si on pourrait toujours la reconnaître entre tous dans une foule. La seule chose qu'elle trouvait déconcertante, difficile même, c'était le fait que bien des gens du commun s'était mis à la considéré comme un porte-bonheur. C'était flatteur, mais tout comme l'intimidation, elle n'avait pas vraiment l'Impression de l'avoir mérité.
Mais elle comprenait ce qu'elle devait travaillé, ce qu'il lui disait. Elle devait cesser de s'apitoyer sur cette différence. Et surtout, elle devait veiller à panser ses blessures. Elle ne voulait pour rien au monde devenir un danger pour ses camarades, devenir un boucher qui tuait pour oublié, et devenir prisonnière de ce cercle vicieux de la violence. Elle s'était toujours jurer de ne jamais utiliser la violence qu'en dernier recours. Elle allait donc faire son possible pour ne pas le devenir. Elle était horrifier qu'elle puisse un jour devenir une sorte de berseker assoiffé de sang. Jorel lui envoya alors une vague de réconfort et sa présence dans son esprit se fit plus forte. Elle n'était pas seule, et il ne la laisserait pas devenir un monstre. Et elle ne ferait jamais rien pour perdre son compagnon.
Et alors, Fitz lui tendit une boué de sauvetage, en même temps que la magnifique petite statuette. Enora la prit dans des mains tremblante, ému plus qu'elle n'aurait su le dire ou le montrer. Elle comprenait d'instinct ce que représentait tant d'effort offert ainsi. Et les paroles qui suivirent aussi.
"J'aimerais beaucoup, pour les deux offres. Je m'étais toujours juré de ne jamais usé de violence si une autre solution peut être trouvé. Je ne crois pas que je pourrais me lancer dans une bagarre avec tant de vie entre mes main dans une sitaution normale, juste pour cesser d'avoir mal.... Sauf que nous ne sommes plus dans une situation normale. La guerre me fait peur pour cette raison tout autant que pour toute les vies que nous y perdrons. Je me fait peur."
Voilà, c'était dit, elle l'avait enfin avoué.
"Mais j'ai besoin de m'entraîner, d'être la meilleur possible pour sauver mes camarades, je sais bien que je ne les sauverai pas à moi toute seule, et que je ne serai qu'une parmi tant d'autre. Mais le meilleur je serai, le plus de vie je pourrai sauvé. Si vous pouvez m'aidé, j'en aurai grand besoin, et peut-être qu'à nous deux on arrivera à s'aidé à guérir l'un l'autre. Je ne peut pas prétendre comprendre tout ce que vous avez vécu, j'ai été choyé, une petite noble qui aurait put vivre une vie oisive si elle avait voulu. J'ai été en butte au moquerie et autre, bien sur, mais jamais rien de si pire. Quelque attaque physique, tout au plus. Les deux seuls véritable événement marquant négatif de ma vie on été ses deux épisode que j'ai raconté au cours. Je... je te remercie pour ton aide, pour ton "amitié", je ne me rendait pas compte à quel point j'en avait besoin depuis le départ de ceux que j'avais. Si tu veux bien accepté la mienne aussi, parce que c'est certain que je ne te laisserai pas m'aidé, si je ne peut te retourner quelque chose. C'est pas vraiment une question de dette, mais plutôt d'honneur, si tu comprend ce que je veux dire."