31
Jardins / Re : On fait avec ce qu'on a!
« le: 02 juin 2021, 03:03:08 »
Enora n'aurait jamais pensée prendre ses aises ainsi auprès de son supérieur. Avec sa prédécesseure, elle avait été presque une seconde mère pour Enora. Et avec Alemdar, normalement, il y avait toujours cette distance entre eux normale entre un supérieur et son subalterne.
Là, il était naturel, il lui servait même le thé.
"Je le prend noir, sans sucre ni lait, merci."
Elle en avait pris l'habitude sur la route. Plus facile, plus rapide, plus chaud, et maintenant, elle en aimait le goût. Elle n'avait jamais eu tellement la dents sucré de toute façon. Elle ne disait pas non à un biscuit, mais elle n'était pas comme le héraut devant elle, visiblement. Une tonne de sucre, trempé les biscuit dans le thé et tout. Tellement loin de l'homme élevé comme un prince que les gens s'imaginait en ville que c'était drôle.
Quand à Enora, cela ne la détendit que plus. Elle aimait ce qu'elle voyait. Autant, elle respectait l'homme et la fonction, autant elle découvrait un humain derrière, et elle se dit qu'en d'autres circonstances, il aurait pu être très ami.
-Et pourquoi il ne le serait pas ? Voilà ta chance, après tout, le mur est tombé maintenant. Et je ne crois pas qu'il en est des tonnes, d'amis.
C'était vrai, Jorel était la voix de la sagesse une fois encore. Et alors il continua comme sur sa lancée, sans convenance, sans mur ni distance, au naturel complètement. Elle le devint aussi. Se recalant dans ses oreillers, choisissant de se détendre complètement. Elle était en sécurité, il n'était plus de gardes, et si elle se détendait, elle savait que cela l'aiderait sans doute lui aussi par extension. La nature humaine était ainsi faite. Elle mesurait l'honneur et le respect qu'Alem lui faisait de ne plus s'embêter des formalités. Elle lui rendait la pareille.
À la remarque suivante, un petit rire échappa à la jeune Albinos, qui se transforma en éclat à la remarque de Jorel.
-T'inquiète ma belle, je le fait préparer dans ses appartements et tu n'auras rien à te reprocher.
Une fois qu'elle eut repris un peu son sérieux, elle transmit l'information avec les yeux pétillants et de l'humour plein la voix.
"Moi je n'y suis pour rien, mais Jorel à décidé que vous n'auriez pas à demander une fois à vos appartements. Il vient de vous faire commander par le même héraut qui était aux cuisines tout à l'heure, un repas complet. Je n'y suis pour rien avant que vous ne demandiez. Il est une vraie mère poule."
Ce qui était l'entière vérité, Enora ne mentait jamais. Mais c'était tellement amusant d'avoir la main haute dans cette conversation. Même la suite ne la doucha pas. Elle se demanda presque, même, si elle n'avait pas projeté ses pensées. Elle était pour demander exactement ça à Alem. En échange de faire exactement tout ce qu'on lui disait, elle voulait être des gardes de la reine.
"Si je ne connaissais pas votre éthique à toute épreuve, je vous accuserais de lire dans mes pensées. En l'occurrence, j'allais vous proposer ce même marché. Je vous promets donc de tous faire pour être sur pied rapidement. Et même avec un bras en moins, mon esprit n'a rien perdu de son acuité, ni de mes dons. Je peux parfaitement assister au entraînement que vous ferez faire aux autres gardes de la reine et du roi. Je vous promets de me ménager en attendant la permission des guérisseurs."
Là, il était naturel, il lui servait même le thé.
"Je le prend noir, sans sucre ni lait, merci."
Elle en avait pris l'habitude sur la route. Plus facile, plus rapide, plus chaud, et maintenant, elle en aimait le goût. Elle n'avait jamais eu tellement la dents sucré de toute façon. Elle ne disait pas non à un biscuit, mais elle n'était pas comme le héraut devant elle, visiblement. Une tonne de sucre, trempé les biscuit dans le thé et tout. Tellement loin de l'homme élevé comme un prince que les gens s'imaginait en ville que c'était drôle.
Quand à Enora, cela ne la détendit que plus. Elle aimait ce qu'elle voyait. Autant, elle respectait l'homme et la fonction, autant elle découvrait un humain derrière, et elle se dit qu'en d'autres circonstances, il aurait pu être très ami.
-Et pourquoi il ne le serait pas ? Voilà ta chance, après tout, le mur est tombé maintenant. Et je ne crois pas qu'il en est des tonnes, d'amis.
C'était vrai, Jorel était la voix de la sagesse une fois encore. Et alors il continua comme sur sa lancée, sans convenance, sans mur ni distance, au naturel complètement. Elle le devint aussi. Se recalant dans ses oreillers, choisissant de se détendre complètement. Elle était en sécurité, il n'était plus de gardes, et si elle se détendait, elle savait que cela l'aiderait sans doute lui aussi par extension. La nature humaine était ainsi faite. Elle mesurait l'honneur et le respect qu'Alem lui faisait de ne plus s'embêter des formalités. Elle lui rendait la pareille.
À la remarque suivante, un petit rire échappa à la jeune Albinos, qui se transforma en éclat à la remarque de Jorel.
-T'inquiète ma belle, je le fait préparer dans ses appartements et tu n'auras rien à te reprocher.
Une fois qu'elle eut repris un peu son sérieux, elle transmit l'information avec les yeux pétillants et de l'humour plein la voix.
"Moi je n'y suis pour rien, mais Jorel à décidé que vous n'auriez pas à demander une fois à vos appartements. Il vient de vous faire commander par le même héraut qui était aux cuisines tout à l'heure, un repas complet. Je n'y suis pour rien avant que vous ne demandiez. Il est une vraie mère poule."
Ce qui était l'entière vérité, Enora ne mentait jamais. Mais c'était tellement amusant d'avoir la main haute dans cette conversation. Même la suite ne la doucha pas. Elle se demanda presque, même, si elle n'avait pas projeté ses pensées. Elle était pour demander exactement ça à Alem. En échange de faire exactement tout ce qu'on lui disait, elle voulait être des gardes de la reine.
"Si je ne connaissais pas votre éthique à toute épreuve, je vous accuserais de lire dans mes pensées. En l'occurrence, j'allais vous proposer ce même marché. Je vous promets donc de tous faire pour être sur pied rapidement. Et même avec un bras en moins, mon esprit n'a rien perdu de son acuité, ni de mes dons. Je peux parfaitement assister au entraînement que vous ferez faire aux autres gardes de la reine et du roi. Je vous promets de me ménager en attendant la permission des guérisseurs."