Valdemar RPG
Autres RPs => Archives => Sujets libres => Discussion démarrée par: Elryk le 24 juin 2010, 15:38:22
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Cela faisait quelques semaines maintenant qu'Elryk avait été admis au collegium des bardes par Dame Riannon. Il passait le plus clair de son temps à s'entrainer pour être à la hauteur, à lire les milliers de livres de la bibliothèque, et à subir le regard inquisiteur d'Irmingarde et de son ami Kun', à l'affut de la moindre faute. Tout cela devenait pesant, et il y avait longtemps que le jeune artiste ne s'était pas adonné à son loisir favori, amuser une foule de gens. Après tout, il était artiste de rue à la base. Il regarda par la fenêtre de sa chambre et vit que le soleil était au beau fixe, et qu'aucun nuage ne pointait le bout cotonneux de son nez. Une journée parfaite pour aller donner une petite représentation en ville. Elryk enfila une chemise de lin à la hâte, rassembla son matériel de scène dans un sac et quitta le collegium.
Sur le trajet, Elryk acheta une pomme à un vendeur ambulant, et le sourire aux lèvres arriva au marché où il s'installa entre un stand de tissus et un stand de fruits. Il déballa son matériel et décida qu'il commencerais par une petite démonstration de jonglerie. Il installa devant lui un chapeau retourné pour récolter d'éventuels dons des passants et sortit de son sac six dagues. Alors que quelques enfants se pressaient déjà pour ne pas manquer une miette du spectacle, il commença à jongler avec les armes, souriant de toutes ses dents.
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Enora était en congé aujourd'hui. Elle n'avait eu le matin que son entrainement au armes avec le beau Kal'enedral. Chaque fois qu'elle pensait à lui, son cœur s'emballait et elle sentait un sourire s'étendre sur ses lèvres. La jeune grise avait décider qu'il était plus que temps de retourner faire un petit tours en ville. Il lui fallait racheter un collier a Grabuge, car son dernier était maintenant très vieux et usé. La jeune albinos voulait aussi acheter un petit quelque chose pour Jorel. Elle savait que les compagnons se souciait peu des cadeaux, et tout cela, mais elle avait quand même envie de lui rapporter quelque chose de la ville. Probablement une gâterie ou quelque chose du genre.
Elle n'était pas retourner en ville depuis qu'elle était entré au collégium des hérauts, et même avant. Elle ne s'y était jamais senti très à l'aise. Tous ses gens qui la dévisageait, tous les signes superstitieux que les gens égrenait sur son passage. Et pourtant, la jeune albinos était déterminer à devenir une ambassadrice, il lui fallait donc affronté et surmonté ce genre de comportement autour d'elle si elle voulait un jour réussir dans cette voie.
Prenant sa bourse et y mettant quelque pièce d'or que lui envoyait régulièrement ses parents, elle prit sa cape grise et se couvrit. Elle détestait cette inconvénients de sa condition. Le soleil la brulait en quelque minutes, ainsi donc, contrairement a tous ses amis, elle ne pouvait prendre de bain de soleil, ou sentir sa chaude caresse très longtemps. Surtout que dehors, en ce moment, il brillait avec magnificence.
Elle se dirigea ensuite vers le marché du village. Marchant lentement et avec la grâce d'une guerrière, ce qu'elle devenait aussi peu à peu au contact du Kal'enedral et des cours qu'elle recevait au collégium. La plupart des gens s'écartait sur son passage et évitait son regard. Enora se contentait d'un sourire et s'efforçait de garder la tête haute. Elle arriva finalement en ville et son regard fut attiré par l'éclat du métal qui bouge sous le soleil. Y avait-il une bataille ?
Se rapprochant, elle fut soulagé et émerveiller de voir que c'était quelqu'un qui jonglait. Elle se rapprocha plus encore, et les gens s'éloignant d'elle, elle se retrouva soudain en première place. Ses yeux d'un bleu surhumain se posèrent sur l'amuseur publique. Elle sourit, d'un sourire enfantin et joyeux, émerveillé. Elle adorait les artistes de rues. Chez elle, sont père en faisait souvent venir au manoir et les itinérants était toujours bienvenue aussi. Son visage fantomatique, légèrement maquiller par habitude et pour lui donner un air plus humain, était souriant et avenant.
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Elryk avait le visage d'un enfant dans le corps d'un homme, rieur, heureux de faire ce qu'il faisait. La foule s'amassait nombreuse pour le regarder faire et le tintement des pièces qui tombaient dans sa besace ne faisait qu'ajouter à sa bonne humeur. Les lames semblaient danser entre ses mains, opérant une chorégraphie complexe, se croisant dans les airs et retombant dangereusement vers l'artiste. Il vit la foule se scinder en deux et la jeune albinos apparaitre au premier plan. La surprise fut telle qu'il rattrapa mal une de ses dague qui lui fit une profonde estafilade au doigt. Il lâcha l'arme qui vint se planter entre ses pieds, mais réagit rapidement et laissa tomber toutes les autres au même endroit pour simuler la fin de la jonglerie plutôt que de montrer qu'il avait fait une erreur.
Il observa longuement la jeune femme. Il avait déjà entendu parler d'histoires qui comptaient des apparitions fantomatiques, mais jamais cela ne s'était produit en plein jour. Non cela était bel et bien une vraie femme qu'il avait sous les yeux. Mais quelle femme. Elle semblait irréelle. Il secoua légèrement la tête, esquissa un sourire et se souvint de la foule qui attendait avec impatience le prochain tour. Il pris alors une torche qu'il enflamma et sortit de son sac une grande flasque qu'il porta à ses lèvres. Après avoir fait signe à la foule de s'écarter un peu, il porta la torche devant son visage et cracha un liquide qui s'enflamma, créant une grande gerbe de feu dans les airs.
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Au moment où la gerbe de feu s'envolait de la bouche d'Elryk, une silhouette bien connue se fit repérer dans la foule. Un homme dépassait les spectateurs d'une bonne tête. Les bras croisés sur son gourdin, il fixait Elryk d'un air neutre. Un gamin fendait la foule, piquant par ci par là une bourse, un bracelet...
Il fit un clin d'oeil au saltimbanque et s'arrêta près d'Enora, commençant discrètement à mettre sa main dans la poche d'Enora .
[ Elryk, tu les repère mais si tu arrêtes de cracher ton feu maintenant tu vas te bruler ...
Enora, tu ne remarques rien , même pas la main du pickpocket... ]
( Enora, ce n'est pas à toi de dire ce que voit l'autre personnage, c'est une spécificité du mj. Tu peux la décrire, mais tu n'as pas le droit de dire comme tu l'as fait qu'il te voit. A lui de décider, et t'inquiète tu es assez spéciale pour qu'on te remarque ^^ )
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(ok, désolé, je ferai attention a l'avenir.)
Enora était fasciné par le spectacle. Elle avait cependant remarquer, contrairement a bien d'autre, et avec un pointe de tristesse, qu'elle avait déstabilisé l'artiste par son appartion. Jamais auparavent elle n'aurait remarquer ce détail, mais aujourd'hui, si. Étais-ce a cause des entrainement du Kal'enedral ? Fort probablement, et aussi de la nouvelle sensibilité qu'elle sentait en elle depuis qu'elle était choisis sans doute. Elle était plus confiante qu'auparavent et plus ouverte, plus observatrice qu'avant désormais. Tous cela grâce a Ann'dra et à Jorel.
Elle fit un sourire d'excuse a l'artiste, mais ne dit rien, et ne fit rien de plus. La foule ne semblait pas avoir remarquer la fautes et ce n'était pas Enora qui la relèverait. Elle savait l'effet qu'elle produisait a la majorité. Elle n'y pouvait rien, et si elle tentait de l'accepter, elle ne pouvait s'empêcher de se sentir triste chaque fois qu'elle effrayait ou mettait mal à l'aise les gens autour d'elle.
Tout au spectacle de l'artiste, elle ne remarqua pas du tout le petit pickpoquet qui tentait de lui voler sa bourse. Il y avait peu à l'itérieur, ce serait une maigre récolte pour le jeune, mais néanmoins, si Enora l'avait vu faire, elle ne l'aurait pas laissé prendre sa bourse ainsi.
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Le regard d'Elryk croisa celui du colosse, puis du garçonnet. Il ne saurait dire pourquoi, mais il ne voulais pas que le gamin vole la bourse de cette dame si mystérieuse. Elle exerçait sur l'artiste une sorte de fascination. Il savait qu'il ne pouvait pas interrompre le tour maintenant ou il en payerais de sa personne. D'un autre coté, il ne voulais pas dénoncer devant tout le monde le gosse et le géant. Il s'attirerait à coup sur des ennuies monumentales. Alors, tandis que le gamin lui faisait un clin d'oeil, il oscilla la tête de droite à gauche pour lui faire signe qu'il ne devait pas voler cette dame. Cela eut pour effet de faire danser la flamme tel un serpent ardent qui ondulerait avant de fondre sur sa proie. Il cracha le liquide inflammable plus fort encore pour en finir vite. Tant mieux, les gens seraient encore plus impressionnés en voyant la boule de feu prendre de l'ampleur. Une fois la bouche vide, il s'inclina devant son public.
Se redressant, il adressa un signe de la main au colosse et le héla.
"Hé Hector! Comment va tu vieille canaille? Le spectacle te plait j'espère?"
Pourquoi avait il fait ça? Lui même l'ignorait. Peut être pour focaliser l'attention de la foule sur le colosse, afin de le dissuader d'intervenir. Ou bien était ce juste de la provocation gratuite comme Elryk en était friand. Mais il devait enchaîner les tours. Il pris dans son barda un sabre droit qu'il dégaina. A l'aide d'une pomme qu'il trancha net, il montra aux gens que la lame était affutée et réelle.
"A présent mesdames et messieurs, sous vos yeux ébahis, je vais maintenant avaler ce sabre jusqu'à la garde!"
Il lança un regard noir au gamin pour voir s'il avait renoncé à son larcin et leva la tête bien haut avant de positionner le sabre à l'entrée de sa bouche, puis, centimètre après centimètre, il enfonça la lame dans son œsophage.
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Le gamin vit que le regard et le serpent de feu était pour lui, et sourit largement à Elryk... Avant de subtiliser la bourse, en retirer une pièce, et tirer sur la manche d'Enora:
" Z'avez perdu ça , m'dame."
Hector regardait Elryk, et quand ce dernier s'adressa à lui il leva une main amusée:
"J'vais bien. L'chef arrive bientôt."
Il était donc là pour prévenir et non "guérir". Les regards de la foule quittèrent le géant pour retourner au tour du saltimbanque. A l'entrée nord de la place, un vieil homme apparut, suivi de quatre gaillards l'air patibulaire. A l'entrée sud, une escouade de gardes, menée par un lieutenant trop bien connu, fit aussi son apparition. Ils convergèrent vers l'endroit où Elryk faisait sa démonstration, l'air peu engageant. Certains spectateurs les virent et décidèrent d'aller prendre l'air ailleurs. Les autres ne remarquèrent rien.
[Enora tu peux les voir arriver ou pas, comme tu veux. Elryk, tu as une très bonne vue , tu ne peux pas les rater. Tu vois qu'Hector se fraie un chemin et retrouve son maitre. Il n'a pas l'air joyeux de devoir le faire, mais pas plus gêné que ça. On ne sait même pas pourquoi il t'a prévenu.
Enora, le gamin te regarde et dit : "Vous devriez mieux aller voir ailleurs si la rue est moins boueuse, ça va être marrant si l'maitre et les gardes veulent ce mec. Surtout qu'c'est un mec du chateau qu'a pas l'droit d'être là." ]
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Pour une raison qui lui était inconnu, Enora était incapable de détacher son regard du saltinbanque. Il y avait quelque chose de magnétique en lui qui la captivait. Tout au spectacle, elle fut surpris quand un jeune garçon lui parla en lui tendant une bourse exactement comme la sienne.
Machinalement, elle porta la main a sa ceinture et ne rencontra pas sa bourse. Elle sourit alors au garçon avec chaleur et sincérité.
"Merci beaucoup de me l'avoir rendu" Son sourire s'élargie et la gratitude se fit plus grande dans son regard quand elle remarqua que le poids de la bourse ne semblait pas avoir changer. Un honnête petit bonhomme, c'était agréable. Pas que tous les petit garçon de Haven soit des voleurs, au contraire, mais dans une foule comme celle-ci, cela ce révélait très probable.
Enora voulut reporter son regard sur le spectacle, mais le garçon lui adressa a nouveau la parole, attirant son attention sur deux groupes de personne qu'elle n'avait pas remarquer avant. Cependant, elle ne comprit pas exactement ce que le gamin voulait lui dire. Le message "il va y avoir de la bagarre était on ne peu plus clair", mais Enora ne comprenait pas pourquoi, ni a qui faisait allusion le gamin en parlant du mec du château qui n'avait pas le droit d'être là."
Enora aurait put décidé de suivre le conseil du gamin, mais sa curiosité, son sens du devoir et une intuition lui soufflait de rester et de voir ce qui allait arriver. Elle ce contenta donc de sourire au gamin et de se mettre ne alerte. Elle ne porta pas la mian a on épée qui pendait à sa ceinture, le geste aurait été suspect et trop visible, mais a tout moment, elle était prête a l'éventualité de se retrouver dans un combat. N'étant pas non plus inconsciente, elle décida de changer de place dans la foule. Discrètement, elle alla prendre place sur le coté de l'Artiste, près du mur et de la ruelle.
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Elryk termina normalement le tour du sabre et le rangea dans son fourreau. Il avait bien vu le vieux arriver d'un coté et les gardes de l'autre. Qu'avait il a craindre? Des gardes rien. Il faisait parti du collegium officiellement désormais. Il avait le droit de se trouver ici. Quand au vieux, oserait il quelque chose devant la garde? A moins que ces derniers ne soient grassement payés par le maître des voleurs pour fermer les yeux ou même collaborer. On était jamais trop prudent. Elryk ouvrit sa besace et en sortit un petit paquet qu'il glissa sous sa tunique. Si quelque chose arrivait, il serait prêt. Maintenant que faire? Poursuivre la représentation en faisant fit des nouveaux arrivants, ou profiter de la foule pour s'éclipser discrètement?
L'artiste opta pour un compromis. Il pris sa petite boite destinée à recueillir les dons des spectateurs et fit le tour de la foule pour récolter les dernières pièces. En arrivant devant Enora, il se pencha à son oreille.
"Le spectacle vous a il plut Noble Dame?"
Il esquissa un large sourire aux airs enfantins comme il savait le faire si bien mais gardait un oeil sur les gardes et le vieux avec son escorte pour voir où ils se trouvaient.
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Des deux côtés, la nasse se resserre. Les gens profitent de cet instant qu'ils détestent ( donner des sous ) pour s'éclipser, et bientôt, autour d'Elryk et Enora ne restent que quelques badauds, attirés par l'instinct: quelque chose de regardable, encore plus amusant que les tours du forain, allait commencer.
Hector perd son air peu engagé quand il regarde les hommes de la garde: eux, il veut bien les tabasser aussi longtemps qu'il le faut !
Le gamin près d'Enora afficha un grand sourire pour Elryk:
" La p'tite dame est comme vous: elle suit pas les conseils avisés ! Bonne chance. "
Il rit et s'enfuit vers le groupe des voleurs, se glissant aisément entre eux sans qu'aucun n'essaie de l'attrapper et il disparait rapidement.
Le Maitre des Voleurs regarde froidement Elryk. Puis les gardes.
Les Gardes regardent l'Etranger et le Fantôme avec haine. Puis les voleurs.
Chaque camps hésite entre sa tête de turc et son ennemi juré. Les deux forts caractères des meneurs ne peuvent choisir.
[ Enora, Jorel sent, du Champs, qu'il se passe quelque chose de mal et te contacte dans l'urgence, voulant que tu quittes les lieux.
Elryk, tu sais que si tu as ton laissez-passer dans le Chateau-Collegia, la ville t'est quand même interdite à cause de ces gaillards là. Il faudrait mieux que tu regagne les murs du Chateau.
Vous êtes sur la place du marché. Des étals sont appuyés contre les murs, et certains toits pourraient être accessibles. Cependant le moindre geste peut décider les groupes à vous attaquer vous et non s'entre attaquer.
D'autres part, les deux sorties principales du marché sont bloquées et les badeaux bloquent les petites rues qui auraient permi de sortir par là. Les bousculer les mettraient de mauvaise humeur.]
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Enora sens que Jorel veut qu'elle reviennnent au Colllegium, elle-même a compris qu'elle est désormais dans une situation difficile et dangeureuse. Elle doit trouvé une solution. Un regard au comédiens de rue lui souffle qu'il est dans un aussi grand pétrin qu'elle sinon plus.
Le regard bleu de la jeune albinos parcourt les lieux, son esprit tournant à toute vitesse pour essayer d'analyse l'endroit et la foule. Il semblerait que toute les sorties de la ville soit bloqué par des badeaux. Elle se doute instinctivment que les bousculer provoquerait leur couroux et probablement un mouvement de foule contre elle. Cette solution ne semble pas la bonne. Plusieurs toit semble accessible, mais encore là, difficile de les atteindre sans attiré l'attention sur elle et probablement sur l'artiste, car elle ne l'abandonnera pas.
Son esprit cherchant toujours une solutions, elle remarque qu'il serait aussi très mal aisé de se noyer dans la foule à présent. Il est trop tard pour ce genre de fuite. Il lui faudrait trouvé un moyen de rejoindre les toît sans attiré trop l'attention sur eux.
Enora se retrouve désormais dans une situation où elle doit protégé quelqu'un et prendre une décision grave. C'est la deuxième fois de sa vie, ou elle se sens vraiment menacé et en danger. Elle ne doit pas laissé la panique la gagné cependant. Elle est une grise et elle doit faire preuve de courage si elle veut s'en sortir. Puisant ce dernier dans le liens qu'elle entretient avec son compagnon, elle se force à garder la tête froide.
Ayant analyser de son mieux la situation, elle se dit que le moindre mouvement serait pire que de rester immobile. Sans bouger, Enora se met a murmurer pour l'artiste.
"Je crois que le mieux pour nous serait de ne pas bouger. Le moindre mouvement attirerais plus encore leur attention sur nous. Je ne suis pas particluièrement aimé en ville, je suis trop... différente. Je pense que le mieux a faire pour le moment, serait de tenter de passer le plus innaperçue possible. Vous sauriez le faire ?"
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Le visage de l'artiste se fendit en deux d'un sourire radieux. Il était ravi de voir que la situation devenait plus compliquée que prévue. Rien n'aurait pu lui faire plus plaisir qu'une bagarre générale éclate entre les deux factions rivales, afin qu'il puisse se divertir de ce spectacle avant de s'éclipser. Mais il y avait cette ravissante dame à la peau couleur neige. Il devait assurer sa protection. Il ignorait qui était cette dame, mais elle semblait si fragile comparé à toutes ces brutes qui avaient fait irruption sur la place du marché. D'un autre coté, il rêvait de mettre une bonne raclée au vieux et a son molosse. Mais il serait bien impoli de faire passer ses désirs personnels avant la sécurité d'une Dame qui risquerait d'être blessée durant la rixe.
Il souria de plus belle quand Enora lui adressa la parole. Elle avait une voix somptueuse. Son visage enfantin fut de nouveau illuminé.
"Passer inaperçu? Voyons noble dame, autant me demander de ne plus respirer. Ne vous faites pas de soucis pour ce remue ménage, je vais vous sortir de là en moins de temps qu'il n'en faut pour vous donner un baiser."
Il ponctua sa phrase d'un franc baiser sur la joue de l'albinos. Le contact de ses lèvres entourées d'une barbe mal rasée devait être des plus râpeux.
"Bon, peut être deux baisers alors. Mais l'heure n'est pas encore aux réjouissance. Je suis d'accord avec vous sur un point. Regardons les s'entre déchirer pour savoir lequel pourra me frapper dessus avant de nous évader par les toits. Ne paniquez pas, je ne vous abandonnerez pas ma Dame."
Il fit un clin d'oeil à la jeune femme et sortit de sa tunique une petite fiole de verre, au cas où, puis observa avec attention les gardes et les voleurs, pour déceler le moindre mouvement qui amorcera leur fuite.
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Une pierre fut lancée. Personne ne saurait si elle visait Enora, Elryk ou les soldats. En tout cas, le résultat, tout le monde le vit rapidement arriver. La guerre fut lancée. La moitié des soldats se dirigea vers Elryk et sa compagne et l'autre vers les voleurs. De leur côté, ceux ci se scindèrent en deux aussi.
Et tout se figea. Une forme venait d'apparaitre devant le couple. Une forme un peu trop noire et surtout trop malsaine pour être humaine. Tout s'était figé, personne ne bougeait plus, bloqué, choqué... Ou pas, car les regards ne bougeaient plus: pas une paupière ne clignait, même les poitrines ne se soulevaient plus. [ Enora, tu te sens ralentie, incapable de parler, mais Jorel continue à te contacter mentalement et tant que tu sens le Lien, tu sais que rien n'arrivera de pire que se sentir emprisonnée dans une espèce de glue, comme si l'air s'était solidifé. Tu peux entendre, voir, mais pas parler ni bouger. ]
La chose se tourna vers Elryk:
" Prends garde à tes arrières, je surveille tout d'ici. Il n'y pas jamais de seconde chance une fois qu'on est mort."
Il semble s'en aller / disparaître à la fois, sans même un regard pour la Grise ni les autres. Le sortilège commence à se diluer avec son départ.
[Elryk, tu as senti la pression aussi, qui t'empêche de répondre. Mais bientôt tu peux de nouveau bouger, et tu constate que les autres non. Le sortilège va se dissiper, attirer les mages, mais pour le moment vous pouvez fuir. Sauf qu'Enora a toujours du mal à bouger.
Enora tu peux de nouveau respirer, parler, mais bouger te semble dur, comme si tu avançais toujours dans l'air solidifié. Sans Elryk tu ne pourrais que rester ici à attendre que les autres bougent et se trouvent un bouc émissaire.]
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Elryk avait sans doute raison, passé inaperçu ne serais pas la meilleurs des idées. Elle attirait l'attention peu importe où elle se trouvait. C'est à se moment là qu'il sembla se transformer en une sorte de prince charmant. Enora se senti mal à l'aise. Elle avait encore cette blessure au coeur de ne pouvoir être aimé de Ann'dra comme elle l'aurait voulus. Lorsqu'il lui déposa un baisé sur la joue, Enora rougis. Ce contact n'était pas des plus soyeux ou plaisant, mais il était en quelque sorte sincère et cela toucha la jeune albinos. Ce n'était que du charmes, mais ce jeune homme était prêt à se battre à ses côté et à tout faire pour l'aidé à s'en sortir, même s'il ne la connaissait pas du tout, et malgré aussi son apparence physique. Cela toucha énormément la jeune fille. Cependant, elle n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit.
Une pierre sembla être le signal pour le début du combat. Impossible de dire qui l'avait lancé, ni où, mais cela n'avais pas vraiment d'importance. Enora vit avec tristesse et un peu de peur, les soldats se diriger vers elle. Pourquoi devait-elle encore une fois être la tête de turc des gens ? Elle avait l'uniforme gris par la Dame ! Elle était désormais une apprenti-Héraut, ne pouvait-on la considéré autrement désormais.
Elle devait cependant ce rendre à l'évidence, cette journée en ville se terminerais mal. Elle n'avait aucune envie de fuir comme une voleuse, elle n'en était pas une. Elle était une élève héraut, et de noble naissance. Peut-être pourrait-elle réussir a tout le moins à se constitué prisonnière sans effusion de sang. Elle avait eu le temps de constitué son courage et de se faire une idée. Elle voulus ouvrir la bouche pour parler avec les gardes qui semblait se diriger vers eux...
C'est alors que tout ce figea et qu'elle senti une forme sale, noire et malsaine apparaitre. Ce n'était pas humain. Enora essaya de bougé, de réagir, mais elle senti comme prisonnière dans de la glu. Tout autour d'elle, le monde s'emblait s'être arrêter, figé. Personne ne bougeait, Enora ne comprenait pas ce qui ce passait, mais elle n'aimait pas, mais vraiment pas cela. Les gens semblait même avoir cesser de respiré. Cela l'effraya quelque peu, jusqu'à ce qu'elle ressente encore la présence réconfortante de son compagnon en elle. Il continuait d'habité une partie de son esprit et de lui envoyé des pensée encourageante. Cela la rassura un peu. Tant qu'elle aurait ce Lien, tant que son compagnon resterais dans son esprit, et elle sait, sans trop savoir d'où ni comment, que tant qu'elle restera en contact avec lui, rien de pire n'arrivera.
Se concentrant pour maintenir ce contact, elle n'en perdit pas moins une seule miette de l'échange entre la Noirceur et Elryk. Elle ne compris pas vraiment ce que cela signifiait, mais elle se promis de tout faire pour le comprendre. Il allait aussi lui falloir trouvé un moyens de se sortir de ce pétrin et surtout, avertir des Hérauts confirmé de ce qui venait de ce passé. Eux serait surement en mesure de comprendre.
Puis, le sortilège sembla prendre fin. Cependant, tous les autres semblait encore figé. La présence était partie, et Enora se sentait un peu plus libre, mais sans l'aide d'Elrik, qui lui ne semblait nullement affecté, elle se doutait de pouvoir partir d'ici toute seule.
Deux option s'offrait donc à elle. Demander à Elrik de l'aidé à fuir, ou bien qu'elle tente de faire valoir son rang d'apprenti Héraut pour que les gardes ne lui fasse pas de mal, quitte a se rendre tout simplement. Elle détestait avoir tort, mais c'était peut être sa seul solution. Cependant, d'un autre coté, Jorel avait été assez clair dans le sentiment qu'il lui avait envoyé, il voulait qu'elle partent de là. Que faire ? L'honneur ou la fuite ? Finalement, Enora décida de prendre la fuite. L'honneur ne raconterais pas au collégium ce qui venait de ce passer et ne la garderait pas en vie. Il y avait une force sombre et malveillante à l'œuvre, elle ne pouvait pas prendre la chance de faire confiance au garde en ce moment.
"Je suis vraiment désolé de vous demander cela, mais je ne pense pas que je réussirait à fuir toute seule. La chose sensée à faire pour vous serais de me laissé et de partir, et je jure que je ne vous en voudrais pas. Je pourrais les retenir un bon moment. Si jamais vous prenez cette solution, je vous en supplie d'aller tout droit au collégium des Héraut et de les avertir de ce qui ce passe. Mais si vous trouvé en vous la gentillesse de m'aider à fuir, je vous en serait éternellement reconnaissante."
Il ne resterais plus à l'adolescente qu'à attendre de voir ce qu'allait faire l'artiste.
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Elryk vit la pierre voler comme au ralentis. Il savait que cela déclencherais les hostilités, et que s'il ne réagissait pas, la jeune albinos et lui même auraient à en pâtir. Alors qu'il s'apprêtait à s'enfuir en emportant avec lui Enora, il vit les gardes et les voleurs ralentir l'allure et soudainement s'arrêter. L'artiste ne comprit pas ce qui se passait, et il vit la forme noire apparaître devant lui. Il esquissa un mouvement de recule et écouta attentivement ce que lui dit l'apparition. Il hocha la tête instinctivement pour dire à la chose qu'il avait compris son message et la regarda disparaitre. Autours d'eux, leurs agresseurs n'esquissèrent toujours pas un geste, et Elryk en conclut que le sortilège était encore actif. Mais aussi puissant soit il, il finirait par se dissiper, et s'il trainait toujours dans les parages quand les belligérants retrouveraient leurs facultés motrices, lui et la grise auraient de sérieux ennuis. Il entendit Enora lui parler et se tourna vers elle.
"Ne dites pas de bêtises jeune femme! Comme si j'allais vous laisser à la merci de ces sauvages."
Il constata que sa compagne était toujours vaguement sous l'emprise du sortilège et avait des difficultés à se mouvoir. Il s'approcha d'elle et passa de manière très cavalière son bras entre les jambes d'Enora.
"Permettez, c'est pour la bonne cause!"
D'un geste rapide, comme si elle ne pesait pas plus de quelques grammes, il la souleva et la posa en équilibre sur ses épaules, retenant de sa main gauche une jambe et un bras d'Enora autours de son cou, pour pouvoir la porter tout en gardant un maximum de liberté et de mobilité. Puis il se tourna vers les gardes et les voleurs.
"Chers amis! Hector! Permettez nous de nous retirer. Amusez vous bien!"
Puis il s'inclina à demi devant ces molosses immobilisés, pris une petite fiole dans sa tunique et la fracassa par terre avant de sauter sur un étalage et d'enchaîner par un bond de toute la force de ses jambes sur le toit le plus proche.
[Arthon, il s'agit d'une des fioles dont je t'avais parlé]
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La fiole éclate sur le sol mais la fumée est aussi ralentie que les autres humains.
Vous parvenez à vous échapper par les toits. Une fois que vous êtes loin, la vie reprend son cours normal laissant soldats et malfrats épouvantés par l'acte de sorcellerie: vous avez, à leurs yeux, disparu dans un nuage de fumée maléfique. Des rumeurs commenceront dès le soir à circuler à Haven. "Les mages noirs sont à Haven..." commencera-t-on alors à murmurer en roulant des yeux épouvantés.
Vous ne croisez plus ni soldats interressés ni voleurs jusqu'à votre retour au Palais.
(je n'interviendrais plus, vous pouvez continuer sans moi)
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Enora fut grandement surprise par la façon peut cavalière qu'Elryk usa pour l'entrainé avec lui vers les toits. Ce n'était absolument pas confortable, mais la jeune albinos n'était pas en position de faire la difficile, et ce n'était pas de toute façon dans ses habitudes, au contraire. Elle était en fait reconnaissante à l'amuseur publique de ne pas l'avoir abandonné, et il s'en était même excusé avec une grande galanterie. La grise s'efforça donc de rester la plus immobile possible et de ne pas nuire à son sauveur.
Elle fut surprise autant probablement que la populace par la fumé, mais elle compris tout de suite que c'était sans doute de l'alchimie. Cependant, elle ce demandait maintenant qu'elle répercutions toute cette histoire aurait vraiment en ville. Rien de bon ne pourrait sortir de cet histoire à n'en pas douté. Depuis son arrivé, qu'elle était devenue une sorte de bouc émissaire, en ville, pour tous les malheurs de tout un chacun. Superstition d'illettré et d'ignorant, mais elle se doutait bien que cela n'en prendrait que plus d'ampleur et plus rapidement.
"Je vous remercie de votre aide mon ami..." Elle se rendit alors compte qu'ils n'avait pas eu le temps de faire des présentation. La position dans laquelle elle se trouvait n'avait rien de digne, mais elle ferait avec."...sans vous, je crois que la foule aurait été très heureuse de me faire passé un mauvais quart d'heure.Au fait, je m'appelle Enora, je suis une apprenti-héraut."
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Elryk courait en direction du palais, sautant de toit en toit, portant toujours son Enora sur ses épaules. Il semblait ne pas être soumis à la loi de la gravité. Il volait au dessus des rues comme si cela était tout a fait naturel, et ne semblait même pas sentir le poids de la grise sur lui. Tout ceci était certainement dut à un entrainement intensif. Il osa un regard derrière lui pour vérifier qu'ils n'étaient pas suivi et ne vit ni gardes, ce qui aurait été surprenant, ni voleurs, ce qui le soulagea un peu. Il entendit l'albinos lui parler et ralentit la course.
"C'est un plaisir de faire votre connaissance Enora."
Ils arrivaient à proximité du palais. Il s'arrêta pas loin de l'entrée et reposa Enora au sol. Les gardes auraient trouvé ça suspect de les voir entrer enchevêtrés l'une sur l'autre. Il reposa alors la grise au sol délicatement et l'aida a rajuster sa tenue.
"Je suis Elryk, artiste de rue et employé au collegium des Bardes. A votre service, Dame Enora. J'espère que vous n'avez rien? Pas de blessure?"
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Le visage d'Enora s'illumina d'un sourire franc, ses yeux bleu reflétant de la gratitude et du soulagement. L'ancienne noble se fendis d'une révérence franche et gracieuse. Malgré ses habit gris très sobre, elle avait gardé se maintient noble du rang qu'elle avait obtenue à sa naissance, mêler avec la grâce et la force de la combattante et de la femme qu'elle était en train de devenir.
"Je vais, bien, et cela est grâce a votre aide. Je vous en suis excessivement reconnaissante Elrik. En plus d'être une artiste excessivement talentueux, vous semblez être un homme d'honneur. Sachez que le plaisir de cette rencontre est partagé."
Le regard de la jeune grise revint s'encrer dans celui de l'artiste. Les yeux d'un bleu étrange était franc, sincère et on pouvait y lire une étincelle d'espoir et de joie de vivre dans ce regard déroutant. Si son apparence pouvait ressembler à celle d'un fantôme, les yeux de l'adolescente, quoique de couleur inhabituel et étrange, reflétait une joie de vivre, de l'intelligence et une certaine once de sagesse.
Cependant, le visage de l'apprenti héraut se referma quelque peu et devint plus songeur.
"Je crois que nous devrions aller faire récit de ce que nous venons de vivre au Hérauts du Collegium. Bien des tumultes on cours en ce moment dans les royaumes qui nous environ et je crois que ce que nous venons de vivre est une goutte d'eau dans cet océan."
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Elryk sourit de toutes ses dents. Il ne semblait pas du tout inquiet. Au contraire, une certaine agitation dénotait une forme certaine d'excitation.
"J'ai trouvé cette journée follement amusante. Vous imaginez leur tête? Pouf! Fumée! Disparu! Nous allons passer vous et moi pour de puissant sorciers aux pouvoirs sans fin!"
Il éclata de rire comme un gosse qui aurait joué une bonne farce. Un véritable esprit d'adolescent dans un corps d'adulte. Mais son sourire disparut et un air sérieux lui rendit son age véritable.
"Vous avez raison Enora. Vous permettez que je vous appelle Enora? Je ne suis pas coutumier du protocole, et pour tout vous dire, je n'en ai cure. Mais vous avez raison, il faut faire un rapport à qui de droit. Tout ceci semble inquiétant. Outre le fait que nous n'ayons pas, vous et moi, que des amis en ville, cette mystérieuse apparition et ce puissant sortilège sont de mauvais augure. Cependant, je craint de ne pas avoir les contacts nécessaires. Je ne suis pas non plus très aimé au palais. Peut être pourrais je vous accompagner et témoigner en même temps que vous?"
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Enora continua de sourire avec sincérité, même si ses yeux était eux aussi devenue beaucoup plus sérieux. Elle ne put s'empêcher de rire devant la joie et l'exubérance de son nouvel ami. Son rire était franc et contagieux, et malgré la gravité de la situation, elle ne put s'empêcher de joindre un rire cristallin à celui enfantin de l'artiste des rues.
Le sérieux repris cependant ses droit et Enora, bien que toujours souriante sembla vieillir au fond de son regard. Tout le contraire d'Elryk, elle semblait maintenant être une adulte dans le corps d'une adolescente. Ses yeux pétillèrent cependant quand il lui demanda la permission de l'appeler par son prénom.
"Bien que noble de naissance, je doit vous confier que je préfère grandement les gens simple et ne pas M'embarrasser de protocole lorsque c'est superflu. Ce serait une grand plaisir pour moi si vous acceptiez de me considéré comme une amie. Et les amis utilise les prénom."
Enora lui fit un clin d'œil de connivence et si le ton était léger, les yeux de la jeune fille avait cependant conserver beaucoup de gravité. C'était en grande parti la sienne, mais elle ressentait aussi encore l'inquiétude de Jorel et sa gravité. Lui aussi avait senti quelque chose de grave était arrivé.
"Je dispose en effet de mes entrée au palais, de par mon sang, mais surtout désormais de par mon appartenance au apprenti hérauts. Si tu veux bien me suivre, je pense en effet que notre témoignage à tous les deux sera très utile."
[Si tu veux poster un dernier truc, je pense qu'ensuite on ira poster au palais.]
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[Je pense qu'on peut clôturer ce RP. Enora, je te laisse le soin de poster la suite au Palais?]
[Edit : Je viens de voir le nouveau sujet, désolé.]
[RP Terminé.]