Journal de bord d'Enora

[Héraut Enora]

J'ai trouvé la chaman Shin'a'in inanimé dans ses quartiers et je l'ai amené au guérisseur.

J'espère sincèrement qu'elle va s'en remettre.  C'est la première fois que j'aide quelqu'un de cette facon, c'est étrange comme expérience.  Je ne la connais pas, et pourtant, je me sens lié à elle comme si elle était une amie de longue date. Je l'ai peut-être sauvé de la mort, enfin, j'espère qu'elle ira bien.  Je me rend compte que ce genre d'aventure est exaltante, tout autant qu'inquiétant.   J'ai aussi fait la connaissance des guérisseur et d'un autre ambassadeur.  Il est pas vraiment mignon, mais en même temps, il me plait bien.

Je crois aussi que j'ai découvert quelque chose d'interessant.  Les gens qui travaille ensemble, en coopération, semble tissé des liens solide entre eux.  Je me sens désormais plus proche des guérisseurs qui m'ont vraiment aidé quand je ne savait plus quoi faire pour sauver l'ambassadrice.  Je me ses redevable d'eux.  Mes parents m'avait parlé de ses dettes d'honneurs, mais je n'avait pas compris à quel point c'est une force en ce monde.  Je suis heureuse d'avoir une dette envers les guérisseurs, et pas du tout malheureuse de m'inquiéter pour la chamane.  Plus j'y pense et plus je trouve fascinant et exaltant l'honneur et tout le reste.

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[Héraut Enora]

J'ai assisté à la déclaration du Roi sur la maladie des compagnon, à l'arrivé de la princesse Rethwelanais et de la demande en mariage de cette dernière.

C'était vraiment un conseil des plus interessant.  Comme toujours les DeFeriel s'en sont donné à coeur joie pour ridiculiser les compagnons et tous les hérault.  Ses gens ne semble savoir rien faire d'autre que de rabaisser les autres et de magouiller.  Si seulement les nobles ne les suivait pas comme des petits chiens.  Même leur peste de fille semble vouloir tout diriger et prendre tout comme son dut.  Ses gens là non rien compris à la véritable noblesse.  Je me sens parfois si seul ici.  Je doit jouer le jeu de la politique, même avec les autres filles de mon âge, et les plus vielle en particulier.  Tout serait si simple si les gens avait le bien du royaume à coeur, au lieu de leur petite intrigue.  La plupart des nobles ne sont que des serpents, mais j'espère que je pourrai un jour apprendre à jouer avec eux en restant moi-même.

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[Héraut Enora]

À la sortie du cours d'histoire, j'ai tenté d'aprocher la DeFeriel fille, mais elle n'est qu'une garce.  J'ai été gentille, je ne lui ai pas manqué de respect, mais parce que je ne me suis pas humilier devant elle, elle a voulut me mettre une correction.  Tout ce que je voulais, c'était qu'elle ne dérange pas les cours.  Mais elle semble pensée que tous le monde doit la servir comme une Reine, alors qu'elle ne fait rien d'autre que foutre la merde et rire des autres.  Cette fille m'horripile.  Tellement de talent et un rang futur gaspiller.  Avec sa petite clique elle se croit si forte.  Elle n'est qu'une coquille vide et au fond je la pleins.  À regarder ses parents, elle n'a pas du être beaucoup aimé.  Mais cela ne lui donne pas le droit de terrorisé tout le monde.  Notre rang nous donne des devoirs et des responsabilité envers le peuples, pas le contraire.  Cette fille ne semble même pas savoir ce qu'est le véritable Honneur ou même la gentillesse.  Sa vie doit être vraiment triste, pour qu'elle attache tant d'importance au paraitre au lieu de l'être.  

Cependant, elle m'a donné une bonne leçon que je vais tâcher de retenir.  Ici ce qui compte, ce n'est pas l'etre, au contraire.  Mais je ne veux pas me perdre.  Il me faudra donc apprendre les règles du jeu ici à Haven et m'y conformer si je veux survivre, mais surtout, si je veux faire prospéré mes propres idées.  Puisque l'image est tout, si je veux être en mesure de m'élever et de me faire une place, je vais devoir apprendre à parraitre sans laissé de côté le vrai honneur.  Peut-être que de cette facon, je vais réussir à leur montrer qu'on peut être les deux à la fois... Qu'on doit être les deux à la fois.

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[Héraut Enora]

Aujourd'hui, j'ai croisé de nouveau le guerrier de la chaman, le Kal'enedral.  C'était une rencontre vraiment intéressante.  Je pense que c'était l'une des plus belle journée de ma vie !!!  Il m'a apris à me battre, il trouve que j'ai du talent.  Il est vraiment géniale.  À partir de maintenant on va s'entrainer ensemble presque tous les jours.  Je ne sais pas pourquoi, mais sa me rend vraiment heureuse.  Avec lui je me sens bien, j'ai un ami, et je me sens en sécurité aussi.  Il est exigent, mais il me fait donné le meilleurs de moi-même.  Juste de pensée à demain, j'ai des papillons qui danse dans mon estomac, le coeur qui bas la chamade.  Je ne comprend pas, mais il me rend heureuse.

[Héraut Enora]

Aujourd'hui, j'ai assisté au plus terrible spectacle de ma jeune existence.  J'ai vu les compagnons malade.  Je n'aurais jamais pensée qu'ils puissent tombé malade un jour.  L'atmosphère qui règne dans les écurie est si triste, si pesante.  Je ferai tout ce que je peux pour les aidé.  Cette journée qui avait commencer dans une belle atmosphère et même par la connaissance d'une nouvelle amie c'est terminé bien tristement.  Cependant, quand je les ai vus, quelque chose a bougé en moi.  J'ai l'intime conviction que je dois les aidés.  C'est plus fort que moi.  J'ai été transpercé par le désespoir qui règne dans les écuries, et pourtant je n'ai aucun don d'empathie, aucun don tout court pour ainsi dire.  Et pourtant, je me sens plus interpelé par leur détresse que jamais auparavant dans ma vie.  Peut-être parce que j'ai toujours rêver d'être des leurs.  Mais en même temps, qui pourrait rester indifférent à temps de souffrance ?  En tout cas, moi je ne le puis.  Je pense que toutes ma vie, je me souviendrai de ce moment.  C'était la première fois que je voyait un vrai compagnon.  Et cette vision de souffrance, de désespoir ne me quittera jamais.  Quand cela ira mal pour moi, je sais que ce ne pourra jamais être pire que ce qu'eux vive.  Je ferai tout pour les aidés.

[Héraut Enora]

Depuis mon arrivé à Haven, je ne plait pas à tout le monde.  Même si je me suis fait quelque amis, je crois que les nobles en générale ne m'apprécie pas.  Je devrait être au dessus de tout cela, mais je n'y arrive pas.  Les gens simples de la ville me prennent pour une sorte de fantôme, de sorcière ou de porte malheur, et les nobles sembles me voir comme une bouseuse.  Je voudrais dire que j'en suis immunisé, depuis mon enfance, ma différence m'attire la suspicion et les inimitié, mais j'avais espéré que ce serait différent ici.

Au début, c'était plutôt discret, mais depuis que j'ai fait une bêtise, une grosse bêtise, et si je ne regrette rien, mais vie est devenue beaucoup plus compliqué depuis.  Je me suis fait l'ennemie de Saskia de Feriel, celle qu'on appel la Noble Peste.  C'est la fille du Baron de Feriel, et si elle n'est pas une princesse, je dirait que toute la "petite cours des bleu" est a ses pieds et que c'est elle qui y mènent la danse.  

Cela c'est envenimé entre elle et moi désormais.  Cela m'attriste et me blesse.  J'ai eu la fugace impression, lors de notre première rencontre, que nous aurions put être de grande amies, et maintenant, c'est exactement le contraire.  Depuis notre première altercations, elle semble tout faire pour me mener la vie dure.  Dans les cours, elle ne cessent de me provoquer.  Les gens qui se sont li d'amitié avec moi aussi en font pour leur frais.  Si ce n'était que de moi, je crois que ça me toucherais moins, mais je n'aime pas qu'on s'en prennent au gens qui sont mes amis ou mes proches, encore plus quand on le fait parce qu'il sont mes amis.  Je n'ai pas eu un comportement très réfléchis, je l'avoue, ou très noble, mais je ne peut non plus la laissé faire sans lui montré que je ne courberai pas l'échine.  Ainsi, donc, je le crois c'est maintenant inévitable, nous nous affrontons chaque fois que nous nous croisons.  Je le déplore.  J'aurais préféré me faire une amie de cette fille, plutôt qu'une ennemie.  Mes amis me demande pourquoi je semble espéré encore que cela change, moi-même je ne le sait, et pourtant, j'ai l'impression qu'il existe encore une chance pour que nous devenions amis.  Tout semble clamé le contraire, et pourtant, je le sens, nous deviendrons amie un jour.  C'est idiot, mais cette idée ne veut cesser de me faire douter.

J'espère que l'avenir lui donnera raison, mais j'en doute.

[Héraut Enora]

[Corespondance entre Haven et les terres de Lolryn]

Chère Maman et cher Papa,

Aujourd'hui à été une des journées les plus mouvementé, effrayante et surtout la plus belle journée de ma vie. Je vais commencer par le commencement, je crois, et vous raconter tous cela. D'ailleurs, cela vous expliquera pourquoi j'ai renvoyé Aisling à la maison.

Je vous ai déjà parlé dans une autre lettre du Kal'enedral avec qui je suis devenue ami. Il m'enseigne tous les jours à mieux me battre et à modeler mon corps pour me défendre. Avec lui, j'exploite mon plein potentiel, et j'aime cela.

Nous étions parti à cheval au abord de la ville. Il voulait visiter et moi aussi. Nous n'aurions jamais cru qu'on pourrait rencontré un danger quelqu'onque. Je dois avoué qu'avec lui, je me sens en confiance, et cela nous a grandement nuit. En effet, des mercenaires, je ne sais toujours pas pourquoi il nous sont tombé dessus d'ailleurs, nous ont attaqué.

J'ai eu peur, très peur. Il était si entrainé. Aisling n'est pas une jument de combat, quand il nous ont attaqué, j'ai eu peur qu'elle rue et me fasse tombé, alors je suis descendu, malheureusement, elle a pris peur et c'est enfuis. Les mercenaire en ont profité. L'un d'entre eux à réussi à m'attraper par derrière. Il me tenait serrer, et j'avait très peur. Cependant, je sentait aussi que je ne devais pas là laissé me dominé. C'était tellement dure. Mais j'ai réussi à me libéré, sauf que ça n'a pas duré. J'ai pratiquement rien put faire dans tous le combat. Je ne pourrait même pas dire ce qui est vraiment arrivé ensuite. Tous était si rapide, c'est encore flou dans mon esprit. Je me souvient seulement avoir été blessé au visage et que je me suis débattue et que j'ai combattu de mon mieux, mon adversaire et ma peur.

Puis, je sais que je me suis retrouvé sous un des mercenaire. Son regard disait clairement ce qu'il voulait me faire. Il voulait mon corps, profiter de moi. La peur était là, plus présente en moi que jamais. Je sentait son sang qui me coulait dessus. Je me souvient vaguement que je l'avait poignarder à un moment donné. Il me tripotait et me menaçait de sa dague. J'étais certaine que j'allais mourir. J'ai vainement essayer de me libéré. Mais il était plus fort que moi. Je ne pouvait rien faire, je me sentait totalement impuissante, et alors un miracle est arrivé. Un magnifique miracle d'un blanc pur avec des yeux saphir. J'ai été Choisis !! Oui, j'ai un compagnon, pour la vie. Il s'appelle Jorel. Il est magnifique. Il a surgis du bois et m'a réconforté mentalement. Ensuite, je ne sais pas ce qui c'est passé. J'ai perdu connaissance. Mais je sentait sa présence à mes côté et en moi aussi.

J'ai repris connaissance un peu plus tard. Mes yeux se sont ouvert sur ceux de Jorel, d'un bleu pure et magnifique. Pour la première fois de ma vie, je sais que je suis enfin complète. Et que je ne serai plus jamais seule. Jorel m'a ramené à Haven. Il est jaloux de moi, mais il a bon fond. C'est l'être le plus merveilleux qui soit. On a passer ensuite toute la soirée au champs des compagnons. On a fait connaissance. Je le connais par cœur et il me connais par cœur. Je t'écris cette lettre depuis les écurie. Je suis maintenant officiellement une élève héraut. C'est le plus beau jour de ma vie. Mon dos contre son large et solide poitrail, je vous envoie tout mon amour et mon amitié.

Si vous venez bientôt à Haven, je vous le présenterai.

A bientôt
Votre fille qui vous aime
Enora De Lolryn

[Héraut Enora]

[Corespondance entre Haven et les terres de Lolryn]

Mes très chers parent,

Pouvez-vous le croire ? Cela fait maintenant un ans que je suis arrivé à Haven.  Je n'aurais jamais cru que la vie serait aussi remplis depuis mon arrivé.  Vous me manquer beaucoup, mais je m'habitue lentement à être loins de vous tous.  Certain jour, c'est beaucoup plus difficile, mais d'autre fois, c'est moins pire.  Jorel m'est d'une très grande aide et d'un grand réconfort lorsque vous me manquer trop.  Je ne peut toujours pas parler directement avec lui, mais je crois qu'il vous envois ses salutations.  Tout comme moi, il a continuer de s'etoffé.  J'ai du prendre presque 3 centimètre depuis que je suis parti de la maison.  Je me demande si vous me reconnaitriez (rire).

Je me suis fait un nouvelle ami depuis la dernière lettre que je vous ai écrit.  Enfin, ami, c'est bien étrange comme rencontre.  Je suis allé au marché, et comme toujours les gens était un peu suspicieux face à mon apparence, normalement cela ne me dérange pas.  En me promenant, j'ai remarquer un artiste de rue qui semblait très doué.  Je me suis arrêter pour l'observer et tous c'est enchainé.

Un petit garçon est venue me prévenir qu'il valait mieux que je parte.  Avant que j'ai le temps de me demander pourquoi deux groupe de gens sont arrivé sur la place venant de direction opposé.  J'ai facilement reconnu le second groupe, étant des gardes de la villes.  Quelque chose semblait se passé entre les deux groupes.  Les passants se sont rapidement dispersé, mais je ne pensait pas vraiment, un être en danger, et deux, je dois avoué que je me suis laissé prendre de court par les événement et que je n'ai pas réagis à temps.

Avant même d'avoir compris exactement ce qui se passait, les deux groupes on prit conscience de ma présence, ainsi que celle de l'amuseur publique.  Les gardes m'ont regarder avec une grande suspicion et de l'intolérance aussi.  Je dois avouer que cela m'a fait quelque chose.  Des gens du peuple, je peut comprendre la superstition, mais des gardes de Haven, je dois avouer que cela aussi m'a pris de court.  Ensuite, et bien, il ont même semblé croire que je pouvait être une menace ! Vous imaginé ma surprise et mon malaise ?!

Cependant, l'amuseur, Elryk, comme je l'ai appris un peu plus tard, semblait disposé à me porter main forte, tout autant que j'ai pensé la même chose.  Jorel m'envoyait son inquiétude et je sentait qu'il voulait que je rentre au collégium, mais les deux groupes nous avait acculé.

C'est à ce moment-là qu'un étrange phénomène c'est produit, mais encore aujourd'hui, je ne saurait l'expliquer.  Je ne peut en parler dans cette lettre, mais tout c'est bien terminer.  Elryk m'a fait passé par les toît et nous avons réussi à nous enfuir.  Le lieutenant qui était en charge du groupe de garde qui as faillis nous attaquer à été relever de ses fonctions, et je crois que tout c'est bien terminer.

Je vous aime fort et vous embrasse tous.
Votre fille et soeur dévoué
Enora

Enora mit un peu de sable pour faire séchez l'encre et elle cacheta la lettre en soupirant.  Elle aurait aimé raconter plus de chose, mais cela aurait été inquiété ses parents alors qu'ils était trop loin pour faire quoi que ce soit pour elle.  tranquillement, depuis l'année qui s'était écoulé, Enora avait appris à vivre par elle-même.  Bien sur sa famille nombreuse lui manquait encore énormément, mais le mal du pays c'était fait moins puissant.  La jeune grise se motivait en se disant que lorsqu'elle rentrerait chez-elle se serait en tant qu'héraut confirmé et qu'elle ne serait que plus contente de revoir les siens.