[Comme Liliany à déjà poster, avec ma permission, je vais ici débuter le tour de Rp avec l'Ordre établi précédemment par Aranel.]
Le pouvoir de la princesse semblait devenir un peu plus fort quand Morag parlait, parce qu'elle aurait tant voulu lui faire voir la beauté que pouvait avoir la vie sans la mesquinerie et l'égoïsme. Elle souri à la réparti de sa dame, même si elle eu un certain pincement au cœur devant le presque trop grand enthousiasme de sa dame de compagnie envers la dite dame. La princesse était reconnaissance à Bronwyn de la soutenir, même si elle savait que s'était à l'avantage de cette dernière qu'elle obtienne ce qu'elle était venu chercher, mais elle n'aimait pas qu'elle approuve trop la jeune fille. Pourtant, elle souri avec une lueur de reconnaissance dans ses yeux pour faire comprendre à cette dernière qu'elle appréciait ses efforts, avant de se tourné vers Ysaline pour lui répondre.
"En effet, je crois avoir souvenir d'un village de se nom. Il semblerait que la Dame et le visage soit bien assorti, noble et pur."
Un compliment de bon goût pour une dame qui le méritait vraiment. S'était par ses petites attention, et par son charisme héréditaire dont elle ignorait tout, qu'elle s'était attacher la Cour d'Amour de Rethwellan et en avait fait plus que des dames qui tentait de prendre le pas les unes sur les autres, mais les avait petit à petit fédéré en un groupe presque soudé qui n'avait plus besoin d'elle à chaque seconde pour le tenir.
Puis elle sourie doucement à Liliany qui avait commencer le service avec doigté. Une jeune fille un peu trop garçonne, mais qui avait un bel avenir si elle gardait sa fraicheur et son esprit candide, trop rare de nos jours dans la noblesse, avant de se tourné vers la Noble DeFeriel. Sa robe était effectivement somptueuse, tout comme celle de sa suivante.
"Vous avez des doigts de fée Demoiselle, vous pourriez en remontrer à plusieurs Dame de la Cour de Rethwellan, car j'ai rarement vu des habits aussi bien fait, il ont à la fois du panache et de la grâce. Sincèrement, vous feriez une Dame exceptionnel."
Il n'y avait ni jalousie, ni mesquinerie dans ses mots prononcer avec une certaine admiration, bien que sans excès, cela n'était tout simplement pas dans la personnalité de la Princesse. Melarianne pensait chacun des mots qu'elle avait dit. Il y avait longtemps qu'elle n'avait plus à pensée méthodiquement à tous ce qu'elle allait dire. Son père avait beaucoup insisté pour que chacune de ses paroles soit toujours enrobé dans du velours, insister au et travailler de sorte que son charisme s'y ajoute naturellement sans même qu'elle en est conscience.
"Damoiselle Morag à tout à fait raison, vous êtes belle et vous ne devriez pas vous sous-estimé et vous sous-évaluer. Le mariage n'a rien as voir avec l'amour."
Elle avait commencer sa phrase avec douceur, mais l'avait fini avec presque de la mélancolie. Ayant grandit en Rethwellan et élevé depuis peu au même rang que ses cousins, elle savait ce que la politique voulais vraiment dire. Elle en connaissait les rouages, trop parfois pour son propre bonheur. Elle n'avait pas quitter Saskia des yeux, sans trop savoir pourquoi elle s'adressait ainsi à elle, peut-être parce qu'elle était celle qui mettait le sujet du prince sur le tapis. Sentant le moment bien choisie pour enchainer sur une note plus sérieuse, avec les rumeurs sur le bal. Elle se leva lentement, laissant sa robe se draper autour d'elle, d'une façon gracieuse dénotant une très grande pratique en regardant chacune des femmes présente, y comprit un petit regard pour la jeune page.
"Vous êtes toutes belle, parce que vous êtes des dames et des demoiselles. Non pas par noblesse du sang, mais parce que chacune d'entre-vous à une âme qui rejaillis sur sa beauté extérieur."
Elle souri gracieuse à Morag qui lui permettait réellement d'amener le sujet de la rencontre.
"Et en effet, je vous ai rassembler ici, fine fleur de la Noblesse féminine de Valdemar..."
La princesse ne ménageait pas son effet, avec son rang et pour les raisons qu'elle avait de faire cette rencontre, elle pouvait se permettre un peu de grandiloquent. Son charisme se déployant en même temps que sa voix, ouvrant les esprit des dames à ce qu'elle voulait leur proposer.
"car j'aimerais vous soumettre le projet d'ouvrir la première Cour d'Amour de Valdemar."
Elle regarda quelques seconde Morag.
"Une Cour d'Amour n'est pas seulement une rencontre, c'est un cercle de Noble Dame, avec leur demoiselle de compagne, les gentilshommes et leur damoiseau. C'est le Champion et le Ménestrel des Dames. Une Cour d'Amour, c'est une sororité de femme qui se lit par le crédo de toute les Cours, Élégance, Courtoisie, Discrétion."
Le crédo de la première cour, fondé par une Reine de Rethwellan qui avait voulu unir les meilleurs Dame de la cour du Roi pour le seconder et amenuisé les tensions entre-elle, tout autant qu'éduquer les futurs génération. Le crédo était aujourd'hui repris par tout les cours, même si chacune avait sa devise particulière.
"Je vous propose de la fonder et de tester les Dames qui le souhaites pour leur octroyer le titre de Noble Dame, comme mon statut m'y autorise, même si je ne suis pas dans ma cour."
Elle regarda chacune des femme présente, même si elle s'attarda une seconde de plus sur Saskia et Ysaline, son charisme s'attardant de même sur elle plus profondément. Elle leur parlerait immédiatement après la rencontre. Puis une brève demi-seconde sur Enora, qui était juste un peu trop discrète, avec qui elle aurait une discutions le lendemain, si la jeune fille le voulais.
"Une Cour d'Amour pour montrer au monde ce que valent les Dame de Valdemar, tout autant que pour montrer au Royaume ce que vous valez. Et je vous propose de le faire au Bal, que je pourrai suggéré de faire masquer selon la mode de la Cour, et d'y ouvrir à la fois le Concours pour être Champion et celui pour le titre de Ménestrel des Dame."
Elle ouvrit doucement les mains, qu'elle avait tenu doucement fermer comme il convient à une Dame non marié.
"Si vous avez des question sur les règles d'une telle cour, je vous invite à me les posé, tout autant que je vous invite à pensé pour aux Armoiries que la cour pourrait avoir, ainsi qu'à sa devise, et si vous le souhaitez, je vous ferai pars des idées que j'ai eu à se sujet."
Elle avait mit tout son cœur dans son discourt. Faire naître cette cour ici, était réellement important pour elle, ce n'était pas seulement une marche vers ce qu'elle sentait être son destin, c'était aussi de donner quelques chose à ses dames, autre que de se faire la guerre pour obtenir du prestige. C'était sa nature même, les règles de la courtoisie faisait autant parti de son âme que la royauté ou la charité. Soudain, à la fin de son discourt, elle se senti terriblement lasse, comme elle ne l'avait plus été depuis très longtemps. Depuis l'époque qui avait suivi la mort de sa mère et que son père était devenu si exigent envers elle.
Elle se rassit lentement et gracieusement, sans faire aucun plie dans sa robe, mais seulement grâce à sa volonté et à la longue pratique de ses manières. Son tain avait pâli, et elle dut prendre son éventail pour cacher son malaise derrière une façade d'attente polie et humble. Le musicien avait commencer une musique plus douce et plus subtile, aidant son discourt à faire son chemin dans les esprits des dames présente. Elle ne présentait pas ses idées immédiatement, parce qu'elle voulait d'abord voir qui serait vraiment de la partie et qui ne pourrait que nuire au projet. Il ne fallait pas non plus saturer leur esprit d'information, mais leur laisser le temps de voir tout ce que son idée pouvait leur apporter, à chacune individuellement et au pays. Et aussi qu'elle l'accepte comme patronne de leur première cour, car elle n'était pas encore Valdemarienne et ne le serait peut-être jamais.