Journal d'une Mercenaire

[Lamétoile]

[Écrit Tayledra de façon précise et méthodique, mais l'encre à couler à certain endroit comme si quelqu'un avait pleurer dessus]

Je commence se journal pour ne pas oublié, parce que la solitude tant à vous faire oublié trop de chose. Je n'avait jamais connu la solitude avant la mort de ma mère. Griffeblanche avait toujours été là pour moi, tout comme la liberté que sa présence me procurait. Ma mère était une mercenaire, la meilleur. Sans attache, mais ayant le respect de tous, ce n'est pourtant pas une lame ou une guerre qui me l'a ravis, mais la nature elle-même. La boue l'a englouti avec tous mes rêves. Je n'avais jamais compris, jusqu'à son départ, combien la vie que l'on mène est fragile. Je n'ai jamais vu l'intérêt d'avoir autre chose dans ma vie qu'elle et mes talents. Je n'ai jamais comprit combien je suis petite, combien mes talents sont bien peu face à l'immensité de se monde, face à la futilité de tout ce que l'on construit et que les dieux peuvent détruire en un instant. Comment savoir? J'ai tant de regret, tant de douleur, mais rien ne la ramènera, rien ne me ramènera dans le passé. Mon insouciance est brisé, je suis brisé, seule dans un monde que je n'ai jamais prit la peine de comprendre et d'appréhender.

Je ne pourrai raconter mon voyage de se lieux jusqu'à Haven, ville la plus proche, car je ne me suis réellement réveillez qu'interpellez par le Commandant Beltran de Greenhaven. Et si notre première rencontre fut houleuse, dure, mordante et que j'ignore encore ce qu'il vit en moi pour me tester et me proposé, presque sur un coup de tête, le poste de son assistante, j'ai bon espoir que notre entente aille grandissante avec le temps...

Il m'a ramener, il m'a donné une raison de vivre et de continuer. Il ma redonner la vie que la mort avait fauché avec ma mère. Pour cela, je lui serai éternellement reconnaissante, je ne pourrai jamais le repayer, mais je peut faire de mon mieux pour être à la hauteur de ses attentes.

[Lamétoile]

[L'écriture est plus propres et avec peu de bavure]

Aujourd'hui en allant faire réparer mes armes, j'ai rencontrer pour la première fois une Hérault et un compagnon. La blessure de mon cœur toujours forte, voir leur complicité m'a presque fait envie. Cela m'a rappeler ma mère si profondément, et ma solitude plus encore. Griffeblanche avait un oiseau-familier, qui m'a élevé presque autant qu'elle, toujours là, près d'elle, leur présence à tous deux me manque et de voir un tel liens chez d'autre, en plus de me rappelez ceux que j'ai perdu, me fait sentir ma solitude plus encore. Ma mère les avais toujours admiré, même si elle avait toujours fait de son mieux pour ne jamais avoir à leur parler, j'ignore pourquoi, et d'aussi loin que je me souvienne, quand on en apercevait un elle, elle me disait toujours de bien le ou la regarder, de ne jamais oublié qu'il sont l'incarnation du service à la population. Elle m'a toujours dit de leur montrer le plus grand respect et il y avait ce petit quelque chose de si triste dans ses paroles que je n'ai jamais osé poser de question. Maintenant je ne saurai jamais la cause de cette blessure dans son âme. Ma mère me semblait toujours si noble, son oiseau sur l'épaule, à cheval sur sa jument blanche en les regardant de loin, cette douleur dans le regarde. Elle me manque tellement...

 J'ai aussi rencontrer une jeune noble, qui tentait de passez inaperçu, quelques chose en elle était à la fois faux et trop vrai. Ce n'est pas la première fois que je vois pareil phénomène chez les "sang bleu". Certain adolescent au bon cœur son noyé et détruit par l'ambition de leur famille, tant et si bien que se cœur fini par se retourné contre eux.

J'ai proposé de l'aider à mieux se fondre parmi les foules, en échange de vêtements et de cours de bonne manière pour mieux me fondre dans les Grands de Valdemar, si jamais je devais réussir les épreuves du Capitaine. J'ai bon espoir de trouver en elle une allié et j'espère qu'elle saura trouver un moi une amie et un pilier pour ne pas se faire détruire par son sang et son cœur. Elle as un bon fond, mais il est en train d'être gâcher par son éducations et ses hésitations. J'espère ne pas arrivé trop tard dans sa vie pour l'aider à rester elle-même, sans pour autant trahir ce qu'elle crois devoir être. J'aurais pu être comme elle, j'ai du être comme elle avait la mort de mère, vide, mais elle as au moins de l'avance sur ce que j'étais, elle est vrai, profonde et elle cherche sincèrement un moyen de vivre sans être détruite par les obligation de son rang. Il y as quelque chose en elle qui m'interpelle, j'espère sincèrement qu'elle trouvera sa voix, ce petit quelque chose qui la raccrochera à qui elle est au fond de son cœur, ce petit quelque chose que je cherche encore.

[Lamétoile]

[On retrouve à nouveau les traces de larmes et les lignes semble avoir été écrit avec une certaine colère ou précipitation.

J'ai décider d'aller faire un tour sur le lieu où Griffeblanche est morte. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais j'avais besoin de retourné là où ma vie à basculer. Ce n'est pas pour m'apitoyer, du moins je ne le pense pas, j'espère que ce n'est pas le cas. Mais pourquoi au juste avais-je se besoin irrépressible de retourné là où elle est morte? Rien ne la fera revenir, le temps que nous avons passer ensemble est terminer, jusqu'au jour ou je la rejoindrai de l'autre côté, je sais qu'elle m'y attendra et je dois maintenant vivre pour qu'elle soit fière de moi, qu'elle puisse continuer d'exister à travers tout ce qu'elle m'a enseigner, tout ce qu'elle as former en moi. Alors pourquoi mes pas me mène t'il à cet endroit? Est-ce parce que j'ai besoin de me convaincre que tout cela n'est pas un rêve, je ne peut plus dire mauvais, parce que rien n'est jamais totalement mauvais, ou est-ce parce que je veux tourné un trait définitif sur cette partie de ma vie? Je ne pense pas le savoir jamais, c'est un besoin si fort que je ne peut le repousser, un besoin qui se propage dans ma chair et dans mon âme.

J'ai commencer à tenir se journal comme elle le faisait, ma mère, dont on dit que je suis la presque parfaite réplique, sauf pour mes yeux, même si j'ignore d'où il viennent, et ma peau, plus pâle que la sienne. Je n'ai jamais su qui était mon père et n'ai jamais vraiment chercher à se savoir. Mère avait cette lueur dans les yeux quand je parlais, quand elle regardait mes yeux, quand je faisait certaine chose, que je n'ai posé la question qu'une seule et unique fois. Une fois où elle m'a dit qu'il vivait en moi et que cela devrait suffire, car on faisait de notre vie ce qu'on voulait en faire, indépendamment de ce qui nous y avait amener. Cette vie m'avait toujours suffit, du moins je le crois. Alors pourquoi tout à-t-il changer si subitement et surtout, pourquoi est-ce que j'accepte les choses comme elle sont venu. Je ne sais pas, mais je sais que je veux trouver ma place en se monde pour moi et non parce que je suis la fille de Griffeblanche la mercenaire. Une place où je pourrai me trouver et trouver ma raison de vivre, comme elle aurait voulu que je le fasse. Elle ne parlait jamais de sa vie d'avant, mais j'ai toujours eu l'impression qu'une part d'elle était perdu ailleurs. Qu'elle vivait sans réellement le faire. Je doute d'un jour pouvoir la comprendre, maintenant qu'elle est parti et j'espère qu'elle aura trouver un sens à sa vie, comme j'espère en trouver un a la mienne.

Peut-être que je suis revenu sur sa tombe de boue et de débris pour lui dire un dernier adieu, parce qu'elle me manque, parce que quelque part, j'ai peur que la souffrance disparaisse avec les souvenirs ou parce que je ne veux pas avoir de regret ou de boulet dans cette guerre où je me suis engagée, plus que je n'en ai sur cette vie vide que j'ai mener avant, ses regrets qu'il ait fallu sa mort pour que je commence à vivre réellement. Mais je suis là et il me faut en trouver la raison...

[Lamétoile]

Je ne sais que penser, la vie est-elle perverse ou bien sage? Quoi pensé de cette visite? De ce que la vie m'y as offert après m'avoir tout prix? Je vie, alors qu'avant je n'aurais même pas su définir cela, j'ai rencontrer des gens et des êtres hors du commun, j'ai une chance de changer les choses, même de façon minime. Mais le prix à payer... J'ai regarder l'endroit où elle as disparu, j'ai fait un feu, le vide dans le cœur, mais l'âme plus vivante qu'elle ne l'a jamais été. Je m'en rend compte aujourd'hui, je n'avais jamais été quelqu'un avant de me retrouver seule, avant de comprendre combien la vie pouvait être fragile. Je n'était pas cruelle, mais je n'était pas non plus conscience de ce qui m'entourait réellement. Est-ce parce que je n'ai jamais eu d'attache autre que ma mère? Est-ce parce que les gens n'ont jamais fait que passé dans ma vie? Est-ce parce que ma vie à toujours été une succession de départ, de voyage, de combats et de vide? Malgré tout, je ne peux en vouloir à ma mère qui m'a donné tout ce qu'elle pouvait, mais je me rend compte aujourd'hui combien le vide en elle était grand, je me rend compte aujourd'hui parce que je sais ce que c'est, je le sait en regardant l'endroit où elle as disparu, je m'en rend compte parce qu'une autre vie dépend de moi aujourd'hui. Un jeune chaton sauvage, dont la mère as aussi été emporter par la boue. Je m'en rend compte parce que j'ai aussi ce vide en moi que je tente de combler en prenant soins de cette petite vie.

La vie est si étrange, j'étais venu là parce que je ne pouvais m'en empêcher, j'y suis venu, je le sais maintenant, pour toute les raisons que j'ai donné et plus encore. Mais la plus vrai est sans doute pour savoir que j'étais vivante aujourd'hui. J'étais là, avec se chaton trouver presque mort et cet homme est venu. Un homme des clans. Alors que je n'avais jamais connu qui que se soit du passé de ma mère, de nos racine, alors qu'elle est morte, se passé refait surface pour me rappeler d'où je viens. Avec un oiseau qui me rappelait tellement la personne à qui j'étais venu dire au revoir. Comment al vie est étrange, alors que j'étais seule avec le jeune félin, l'oiseau à piquer vers moi et j'ai cru devoir défendre mon protégé, puis l'autour à bifurquer d'une façon si incongru que j'en suis rester figé,une main sur mes armes. Entendre cette langue que ma mère et moi parlions ensemble m'a fait si mal et pourtant tellement de bien. C'est si confus et pourtant si clair. Je me demande comment les choses peuvent être si contradictoire.

Puis, ILS sont apparu, magnifique et doré. Si beau que je n'ai pas de mots pour les décrire.

Des Dyhelis, c'était la première fois que je voyait ses nobles créature. Elle sont gracieuse et si belle. Et il fonçait vers la mort.  Je ne sais qu'en penser, il semblerait que j'ai hérité d'un talent du peuple de ma mère de pouvoir leur parler. Depuis la mort de mère, je ne sais plus où j'en suis. J'espérais pouvoir me retrouver et au lieu de cela, j'ai encore plus de question. Nous partons bientôt pour le Col et je ne sais toujours pas qui je suis vraiment. Je me rend compte de combien j'ai été superficiel et imbu de moi auparavant. Je ne sais vraiment plus ce que je veux vraiment. Mais je ne peut pas les laisser faire du mal à des enfants...

[Lamétoile]

[L'écriture est pleine de bavure et certain mots sont illisible, barré pour ne pas qu'on puisse les lires. L'écriture est profonde, et la page est en piètre état.

Les monstres! Ce qu'ils font des enfants... c'est insupportable. Je le jure devant la déesse, jamais je ne laisserai faire cela, même si je dois sacrifié toute ma vie à combattre se genre de choses, plus jamais je ne laisserai des gens faire cela à d'autre, surtout à des enfants ou à un Héraut. Comment peut-on faire cela à des enfants pour un pouvoir éphémère. Qu'est-ce qui peut pousser un être à faire une telle chose? J'en ai encore mal au cœur. Tant de cruauté, je n'aurais jamais cru que cela pouvait exister dans se monde. Je n'aurais jamais cru qu'il pouvait y avoir tellement d'horreur dans se monde. Je le jure, plus jamais je ne regarderai la guerre de la même façon. J'en fait le serment, je dédierai ma vie à protéger le monde de se genre de magie perverti. Par mon sang et mon âme, même si je dois parcourir le monde sans repos, je ne permettrai pas que de tels abomination puisse sévir.

Toute cette histoire put la magie sanglante. D'abord le capitaine Rudy qui as été attaquer parce une flèche verte et ensuite cette découverte, ce cercle sordide et sanglant. Je vois encore dans ma tête les mains et les corps, la flèche au milieu de cette scène obscène. Je ne peux fermer les yeux sans les revoir, même si le sang et la promesse ont atténué ma rage. Plus jamais je ne pourrai être le même qu'avant. Comme j'ai été égoïste, comme si ma liberté valait les morts que j'ai causé. Je n'ai pas été comme eux, mais j'aurais put. Que la déesse me guide pour ne jamais que je sombre dans une tel folie. Comment ais-je pu être si aveugle? Comment ais-je put seulement vivre en voyant cela comme manger ou dormir? Comment ais-je pu prendre la mort si légèrement? Je me dégoute... je n'aurai plus de paix tant que je n'aurai pas racheter chaque mort que j'ai causé sans âme. Je n'aurai de paix tant que je ne me serai pas lavé de celle que j'étais...

[Lamétoile]

Les éclaireurs ont disparu, les attaques semble se multiplier. Tant de blesser, tant de violance, de sang et d'horreur. J'en viens à me demander comment j'ai fait pour aimer cela... Ais-je vraiment été si froide? Je n'ai pas le temps d'écrire beaucoup, la campagne devient de plus en plus horrible et j'ai peu de temps.

On nous as enfin envoyer un mage, même s'il ne connais rien à la guerre son aide pourra nous être précieuse. C'est un homme, jeune, imbu de lui-même. Il ne semble pas comprendre les nécessité de la guerre, ce qu'elle fait des gens, ce qu'elle exige. Je ne suis pas une enfant de cœur, je fait de mon mieux pour garder les gens en vie, même si pour cela, je dois passé pour une sadique. Je ne l'aime pas vraiment, il me ramène trop à mes erreurs passé, celle que j'étais avant. Je me bats aujourd'hui pour tous ses enfants, pour tout ceux qui souffre de la soif de pouvoir des autres. Il ne semble pas comprendre qu'on ne peut pleurer sur les disparus, qu'on ne peut rien faire pour les blesser sinon prier et faire de son mieux pour que leur blessures n'ait pas été vaine. Il semble bon, mais son égo, ses sentiments et sa naïveté sont des faiblesses qui pourraient le retourné contre nous, je vais le surveillez...

[Lamétoile]

[Petite annotation griffonner à la hâte]

Un inconnu s'est joint à nous. Un amnésique à ce qu'il semble, à ses dire. Loyal semble lui faire confiance, alors je lui ai accorder ma protection, on verra ce que cela donnera.

[Lamétoile]

De la magie, encore. Je ne sais pas ce que cela veut dire, mais il semble que plus on approche du lieu où sont les enfants, plus il y en as. L'air en est saturer. Nous combattrons bientôt.

[Lamétoile]

Le combat à eu lieu. Je n'aurais jamais cru avoir le cœur aussi lourd. Comment une victoire peut-elle être si amère. N'ai-je pas perdu suffisamment avec la mort de ma mère? N'ai-je pas payer suffisamment pour mon inconscience? Ellia est morte, morte parce que j'ai échoué. Morte parce que je n'ai pas été suffisamment alerte. Et avec elle est mort tous ce qu'il me restait de l'enfance. Devais-elle réellement payer pour mes lacunes? Devais-elle être la victime de mes faiblesse? Je ne serai plus jamais la même, Chandétoile est définitivement morte, elle as été blesser le jour de la mort de mère et cette guerre l'a définitivement enterrer. Comment pourrais-je encore vivre comme elle après tout cela? Je ne puis, c'est au dessus de mes forces. J'ai fait un serment et il sera ma vie à partir de maintenant. Je ferai tout ce que je peux pour que personne d'autre n'ait à vivre cela. À partir de se jour, je suis Lamétoile, celle qui combat pour les rêves des autres. Je n'ai plus rien d'une enfant, ma naïveté est morte avec cette femme qui avait connu ma mère et que je respectait. J'ai échouer et d'autre en souffre. L'homme que je devait protéger as été utiliser, son corps souiller pour commettre se meurtre. Comment puis-je encore respirer alors qu'elle est morte?

Mais je ne lui donnerai pas le plaisir de me voir m'effondrai. Je le retrouverai et je l'empêcherai de nuire. Je ne lui donnerai pas la satisfaction de goûter une victoire. Je n'aurai de repos tant que mes fautes ne seront laver.

Mon seul réconfort est de savoir que nous avons de nouveau allié, le chef des Dyhelis,  Etyan, de la lignée d'Evilan qui fut l'ami de cœur de la tribu K'Sheyna, que j'ai en parti escorter jusqu'à Haven est venu nous offrir son aide après les combats. Sa présence m'apaise et me réconforte alors que Loyal passe de plus en plus de temps avec l'étranger.

Nous seront bientôt de retour et je ne sais toujours pas ce que je dois faire.