Elryk avait sans doute raison, passé inaperçu ne serais pas la meilleurs des idées. Elle attirait l'attention peu importe où elle se trouvait. C'est à se moment là qu'il sembla se transformer en une sorte de prince charmant. Enora se senti mal à l'aise. Elle avait encore cette blessure au coeur de ne pouvoir être aimé de Ann'dra comme elle l'aurait voulus. Lorsqu'il lui déposa un baisé sur la joue, Enora rougis. Ce contact n'était pas des plus soyeux ou plaisant, mais il était en quelque sorte sincère et cela toucha la jeune albinos. Ce n'était que du charmes, mais ce jeune homme était prêt à se battre à ses côté et à tout faire pour l'aidé à s'en sortir, même s'il ne la connaissait pas du tout, et malgré aussi son apparence physique. Cela toucha énormément la jeune fille. Cependant, elle n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit.
Une pierre sembla être le signal pour le début du combat. Impossible de dire qui l'avait lancé, ni où, mais cela n'avais pas vraiment d'importance. Enora vit avec tristesse et un peu de peur, les soldats se diriger vers elle. Pourquoi devait-elle encore une fois être la tête de turc des gens ? Elle avait l'uniforme gris par la Dame ! Elle était désormais une apprenti-Héraut, ne pouvait-on la considéré autrement désormais.
Elle devait cependant ce rendre à l'évidence, cette journée en ville se terminerais mal. Elle n'avait aucune envie de fuir comme une voleuse, elle n'en était pas une. Elle était une élève héraut, et de noble naissance. Peut-être pourrait-elle réussir a tout le moins à se constitué prisonnière sans effusion de sang. Elle avait eu le temps de constitué son courage et de se faire une idée. Elle voulus ouvrir la bouche pour parler avec les gardes qui semblait se diriger vers eux...
C'est alors que tout ce figea et qu'elle senti une forme sale, noire et malsaine apparaitre. Ce n'était pas humain. Enora essaya de bougé, de réagir, mais elle senti comme prisonnière dans de la glu. Tout autour d'elle, le monde s'emblait s'être arrêter, figé. Personne ne bougeait, Enora ne comprenait pas ce qui ce passait, mais elle n'aimait pas, mais vraiment pas cela. Les gens semblait même avoir cesser de respiré. Cela l'effraya quelque peu, jusqu'à ce qu'elle ressente encore la présence réconfortante de son compagnon en elle. Il continuait d'habité une partie de son esprit et de lui envoyé des pensée encourageante. Cela la rassura un peu. Tant qu'elle aurait ce Lien, tant que son compagnon resterais dans son esprit, et elle sait, sans trop savoir d'où ni comment, que tant qu'elle restera en contact avec lui, rien de pire n'arrivera.
Se concentrant pour maintenir ce contact, elle n'en perdit pas moins une seule miette de l'échange entre la Noirceur et Elryk. Elle ne compris pas vraiment ce que cela signifiait, mais elle se promis de tout faire pour le comprendre. Il allait aussi lui falloir trouvé un moyens de se sortir de ce pétrin et surtout, avertir des Hérauts confirmé de ce qui venait de ce passé. Eux serait surement en mesure de comprendre.
Puis, le sortilège sembla prendre fin. Cependant, tous les autres semblait encore figé. La présence était partie, et Enora se sentait un peu plus libre, mais sans l'aide d'Elrik, qui lui ne semblait nullement affecté, elle se doutait de pouvoir partir d'ici toute seule.
Deux option s'offrait donc à elle. Demander à Elrik de l'aidé à fuir, ou bien qu'elle tente de faire valoir son rang d'apprenti Héraut pour que les gardes ne lui fasse pas de mal, quitte a se rendre tout simplement. Elle détestait avoir tort, mais c'était peut être sa seul solution. Cependant, d'un autre coté, Jorel avait été assez clair dans le sentiment qu'il lui avait envoyé, il voulait qu'elle partent de là. Que faire ? L'honneur ou la fuite ? Finalement, Enora décida de prendre la fuite. L'honneur ne raconterais pas au collégium ce qui venait de ce passer et ne la garderait pas en vie. Il y avait une force sombre et malveillante à l'œuvre, elle ne pouvait pas prendre la chance de faire confiance au garde en ce moment.
"Je suis vraiment désolé de vous demander cela, mais je ne pense pas que je réussirait à fuir toute seule. La chose sensée à faire pour vous serais de me laissé et de partir, et je jure que je ne vous en voudrais pas. Je pourrais les retenir un bon moment. Si jamais vous prenez cette solution, je vous en supplie d'aller tout droit au collégium des Héraut et de les avertir de ce qui ce passe. Mais si vous trouvé en vous la gentillesse de m'aider à fuir, je vous en serait éternellement reconnaissante."
Il ne resterais plus à l'adolescente qu'à attendre de voir ce qu'allait faire l'artiste.