Chandétoile avait fini très tard sa journée de la veille. En fait, les derniers temps avait tout sauf été facile, mais cela l'avait fait grandir. Elle s'était lever plutôt fatiguer, avec l'impression de ne pas avoir beaucoup dormi, mais c'était une sensation familière pour elle, qui avait vécu toute sa vie avec une mercenaire avant d'embrasser elle-même cette carrière si peu reluisante, mais si libre et forte. Elle s'était vêtu et avait été ravis d'être retourné sur les lieux où sa vie avait si profondément changer. Si elle n'avait pas retrouver le corps de sa mère, elle avait au moins retrouver certaine de ses affaires, comme sa cote de maille. Un cadeau de sa mère pour ses seize ans, le dernier cadeau qu'elle lui avait fait. Tailler sur mesure avec de fin anneau de métal, elle était souple et coulait sur elle. Teinte en noir, elle faisait un peu moins de bruit qu'une cotes de maille généralisé, et si elle protégeait moins qu'une armure complète, elle lui laissait une plus grande liberté de mouvement. Chandétoile avait un style de combat tout en finesse et cette cote de maille, plus légère, la pénalisait moins qu'un autre type d'armure. Elle s'était habiller avec les vêtements propre qu'elle s'était faites faire sur un croquis qu'une jeune noble lui avait fait. Un chandail argent transparent avec un pourpoint bleu foncé, et des pantalons de cuir argenté. Avec sa cote de maille, elle avait une certaine classe. Elle avait tresser ses cheveux de façon à ce qu'il ne la gène pas, ce qui lui donnait l'air guerrier qu'elle voulait avoir.
Elle regarda une dernière fois son paquetage pour s'assurer qu'elle n'oubliait aucun sac, puis elle ferma la porte derrière elle et se rendit au écurie, suivit par Loyal, où elle trouva un cheval déjà harnaché, qui l'attendait. Un cheval de bonne qualité, plus qu'elle n'aurait pu l'espérer, et elle y attacha solidement son paquetage. Cavalière émérite, certain la prenait parfois pour une Shin'a'in parce qu'elle avait passé la plus grande partie sur un cheval, elle n'eut aucune difficultés à se faire accepter de sa monture, bien qu'elle ait eu plus de difficultés à faire accepter à son jeune compagnon à rester dans la boite en osier qu'elle avait fait faire spécialement pour lui en quelques heures, elle fini par lui mettre un morceau de viande séché dans la boite et un vieux vêtements qu'elle utilisait maintenant comme chiffon pour entretenir ses lames.
Elle n'avait pas eu le temps de se faire accepter par tous, mais ceux qui s'était entrainer avec elle ou avait eu l'occasion de la voir un peu durant les deux derniers jours lui firent un léger signe de tête. Autant dire presque personne, car ceux avec qui elle avait travailler la nuit précédente et qui avait pu juger de son caractère et de son sérieux était ceux qui était de garde en ville. Ceux qui resterait pour veillez à la sécurité et au maintient de l'ordre. Elle était la seule à avoir été de faction la nuit précédente, à être parmi ceux qui partait se battre. Puis elle remarqua le Capitaine qui arrivait, étincelant dans son armure, si il avait fière allure, elle pouvait sentir, dans sa démarche qu'il n'en était pas moins sérieux et elle savait, même si elle ne le connaissait pas depuis longtemps, qu'il n'avait rien d'un dandy ou d'un frimeur, qu'il le faisait pour la populace et ceux qui se battrait sous ses ordres. Elle le salua d'un signe de tête. Son discourt était concis, ce qu'elle su apprécié. Un départ à la guerre n'était pas une réjouissance pour un pays, même si certain tentait d'en faire une fête.
Sur un signe de son capitaine, elle lui emboita le pas.
