Chambre de la Lieutenant Lamétoile

[Lamétoile]

Comme toute les chambre d'officier, la chambre de l'officier tayledra est fait sur un moule simple, une chambre, un boudoir pour accueillir les visiteurs, avec une porte qui donne sur la cour. Mais contrairement aux autres appartement, même au plus simple des simples dortoir, elle n'a pas d'âme, pas d'impression de son occupantes. On n'y retrouve que les commodité les plus utile et élémentaire, aucune finesse, aucune finition autres que celle donné par les architecte à la construction de la caserne et les armes de la tayledra. Aucun bibelot, aucune souvenir, aucune trace de la personnalité de Lamétoile.

Rien n'a été changer dans le décor initiale, comme si l'occupante n'était que de passage, sans intention réel de rester, ou sans désir d'appropriation de l'appartement. Tout est conventionnel, sans aucune fioriture, sans flafla inutile, laissant une impression de vide, d'inhabitée, créant presque un malaise chez les plus sensible à se genre de chose.

La pièce est généralement laisser dans la lumière du jour ou de la nuit, car son occupante tire rarement les rideaux, sinon lorsqu'elle as besoin de solitude. On peut avoir une armes ou un objet pouvant servir d'arme à porté de mains partout dans l'appartement, seule preuve réel d'occupation de la place, avec les bagages ranger dans la chambres et l'armure sur son support quand Lamétoile ne la porte pas.

[Héraut Aranel]

Un messager du palais vint jusqu'aux appartements des officiers et se glissa dans ceux de Lamétoile sans se faire remarquer. Il laissa sur une petite table une lettre scellée, portant le sceau de Valdemar puis disparut comme il était entré. Le cachet de cire bien que froid était récent car il se décollait aisément.

Si vous êtes celle qui fut autrefois baptisée Chandetoile, fille de Griffeblanche la Bannie, retrouvez-moi dans les jardins de la Reine à l'extinction de la dernière graduation de bougie.

La missive n'était pas signée. Elle était écrite d'une main un peu tremblante qui ne semblait ni féminine ni masculine, un peu italique. La plume avait bavé à plusieurs reprises prouvant que la chose avait été écrite à la hâte. La dernière graduation de bougie se consumait peu avant minuit.

[Lamétoile]

Lamétoile revint d'un entrainement en sueur, mais tranquille. Elle ressentait encore ce sentiments de décalage, mais elle avait prit la décision de rester au moins jusqu'à ce que le poulain d'Éthyan soit grand. Elle ne voulait pas privé un fils de son père ou une épouse de son mari, quel que soit leur façon de le dire. Alors elle était rester et elle tentait de voir si cette vie lui conviendrait vraiment. Elle n'en avait vu que la guerre, il était peut-être temps qu'elle voit un peu de paix.

Elle failli manquer la missive, mais revint sur ses pas et la regarda. Personne ne lui avait dit qu'on était passé, elle la prit donc lentement dans ses mains, se demandant si s'était une erreur, mais sans l'ouvrir, sans aucun indice sur la missive, elle ne pouvait rien faire, alors elle la décacheta doucement, remarquant la fraicheur du sceau et la lut en diagonale pour voir à qui elle était.

Qui pouvait connaître sa mère et pourquoi la nommé Banni? Pourquoi cette étrange missive et cette heure indu comme rendez-vous? Pourquoi en dire autant et si peu? Et surtout, pourquoi cette lettre si anonyme, sans même un indice? Lame relut plusieurs fois la missive, sans avoir aucune réponse à ses questions, si bien qu'elle fini par soupirer et laisser retomber sa mains en regardant à l'extérieur, le soleil était coucher, mais il restait quelque graduations au bougie.

Une inspiration plus tard, l'ancienne mercenaire avait pris sa décision, qui que se soit, il ou elle avait mit de l'énergie pour arranger tout cela et pour rester anonyme, elle se devait au moins d'y aller. Elle prépara donc ses armes, laissant ses préféré en évidence et cachant quelque couteau bien placer sur elle. Elle regarda Loyal et décida de ne pas déranger Éthyan, à moins d'être en danger, et de n'amener que le félin. Peu avant le rendez-vous, elle sorti sans un bruit de ses quartier, mais sans se cacher. En tant que Lieutenant, elle avait le droit de circuler comme elle le voulait.

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