Soyara avait vu l'homme se diriger vers elle, pas vraiment beau, l'air presque féminin sur certain côté, c'était aussi indubitablement un étranger. Il semblait complètement absorber par ses pensée, il était donc une victime, une proie facile. Soyara n'était pas une pick-poket, mais elle savait que son charme lui ouvrait bien des portes, et c'était encore la cas malgré qu'elle soit devenue une servante, un regard de sa part et la plupart des hommes ordinaires faisait bien des choses pour elle.
Ainsi, elle décida de ne pas changer de route, contrairement à son habitude. Elle se mit même volontairement dans la trajectoir de l'étranger, mais jamais elle ne se serait attendu à se faire bousculer aussi solidement. Cet homme savait indubitablement se servir de l'épée à sa ceinture et ses muscles n'était pas que pour faire beau. Elle avait l'impression d'avoir été renverser par un cheval.
Mais elle était habitué à la douleur bien de ses anciens client aimait avoir mal ou faire mal. Mais quelque chose lui dit que d'avoir l'air trop forte était nuisible dans cette situation et Soyara avait appris à se servir de son instinct. Aussi, elle ne retint pas le cri de surprise et de douleur qui lui échappa.
Restant quelque instant étourdis au sol, elle prit le temps de reprendre ses esprit, s’octroyant se luxe et le savourant presque. Jamais dans la rue elle n'aurait put se permettre ça. Puis, délicatement, avec une grâce et une séduction consommé, elle pris la main tendu, reprenant son rôle de servante, baissant la tête comme toute femme de basse extraction devait le faire. C'était une seconde nature chez elle de se plier au conséquence, fierté quand il en fallait, humilité et soumissions le reste du temps. Elle opta pour une soumission séduisante. Tout en elle était encore fait pour charmer. Ses yeux qui papillotait, ça façon de prendre la main tendu, la grâce de se relever.
"Je suis désoler Messire, vraiment vraiment navré, je suis confuse."
Sa voix était mélodieuse, bien que plus grave qu'on aurait put le croire d'une femme comme elle. C'était une voix de chanteuse, une voix habitué à charmer autrui et modeler pour ça.