(Je ne sais pas c'est à qui, et le sujet pour les tour de jeu n'est pas à jour, donc je me lance pour faire avancer le sujet)
Melarianne hocha la tête vers Uriens pour le compliment. Elle était né dans un milieu politique, pourtant, il y avait dans se roi quelque chose de sincère et rafraichissant. Elle regarda l'inconnu et nota mentalement son nom, son royaume et son rang. Un prince d'un royaume étranger, intéressant et surtout, important. Il était venu à Valdemar et se sans que Rethewellan ne soit au courant. Il lui faudrait certainement faire faire des recherches sur se royaume et se prince. Elle le regarda à la dérobé pendant qu'il faisait son petit discourt, belle prestance, mais pas dédaigneux, un peu exotique, mais pas autant que les Tyaledra ou les Shin'a'in. Des cheveux bruns mi-court avec des yeux et une peau pale. Il y avait un accent indéniable dans sa voix, mais pas incompréhensible.
Ce fut ensuite au tour de la Shamane, d'un discourt qui piqua la princesse, sans qu'elle ne laisse rien en montrer, sinon une petite étincelle de colère vite étouffé. Cette femme ne savait rien d'elle, elle n'avait même pas daigner venir lui parler, alors de quel droit la jugeait-elle? Elle était ici, elle avait sacrifié beaucoup pour être à la hauteur de son royaume, elle travaillait depuis deux ans à garder solide et vivace l'alliance avec les autres royaumes. Et elle avait été traité comme une indésirable depuis son arrivé. Elle devait prendre le temps de reprendre le contrôle de ses sentiments avant de prendre la parole. Elle écouta donc les autres en se détachant de ses sentiments. Elle avait trop sacrifié pour tout perdre sur un coup de colère. Quand Ysaline se leva, Melarianne lui souri pour l'encourager. Cette femme avait une force de caractère qui lui ressemblait. Elle était toute deux des forces douce, elle s'imposait par leur douceur et leur fermeté. Elle souri de même à Enju, durant son discourt, pour l'encourager et lui montrer qu'elle la supportait.
Puis se fut son tour et elle se leva avec grâce, souriant a tous avant de parler de sa voix douce et profonde.
"Je vous salut au nom de Rethwellan et de mon oncle le Roi. Sachez que ma présence ici est la preuve même que mon royaume est prêt à offrir beaucoup pour cette alliance."Elle regarda Uriens et le Prince, puis son regard se tourna vers le prince de Molovia. "Je suis ravie de voir tant de renouveau," puis elle regarda Ysaline, " de voir des forces éclatante, " elle porta ensuite son regard vers Enju, "et des gens dévoué qui brille comme le soleil." Puis elle reporta son attention de façon plus neutre à tout un chacun " Ce joindre à se conseil. Je suis honoré de pouvoir en faire parti auprès de ses gens et de vous tous. Et je ferai tous ce qui est en mon pouvoir pour être à la hauteur des sacrifices de mes ancêtres et des vôtres. La paix et l'entente est mon plus grand désir." Ses dernière parole s'adressait à la Chaman, qu'elle regarda de façon discrète. Elle n'avait pas aimer être juger, mais elle aurait du s'y attendre. Et cela l'avait blesser, beaucoup. Plus le temps passait et plus son être s'effritait. Ce qui aurait du être la réalisation d'une partie de son rêve, une pierre à l'édifice de la paix était en passe de détruire progressivement ce qui protégeait son âme et son cœur de la corruption familiale.
Elle se rassit doucement sur ses mots. Elle ne pouvait faire plus sans rabaisser Rethewellan et son oncle qu'elle représentait. Elle espérait sincèrement que son discourt serait entendu par ceux à qui elle l'avait dédié. Elle espérait qu'Enju comprendrait qu'elle ne l'avait pas snobé, mais qu'elle avait voulu l'encourager doucement, sans attiré d'attention et d'animosité sur elle. Sans lui donné trop de problème politique. Elle avait voulu lui souhaiter la bienvenu de façon discrète. Elle avait aussi voulu ouvrir son cœur, en parti, à la Shaman, au Roi et surtout au Prince Arthon. Tout en laissant la simple impression d'une fine et gracieuse diplomate aux autres qu'elle ne connaissait pas. Elle ne pouvait se permettre de faire montre de quel que faiblesse que se soit.